Alerte ! Le WiFi que vous utilisez dans votre PME a probablement une faille de sécurité. Des chercheurs ont découvert que le protocole sans fil le plus utilisé dans le monde pouvait être exploité par des pirates. Avec à la clé une exposition des données sensibles, telles que mots de passe et cartes bancaires. Pas de panique, voici de quoi vous sauver la mise.

Répondant au doux nom de Krack, cette brèche permet aux pirates de s’introduire entre l’utilisateur et le réseau sans fil et d’intercepter des données. Annoncée le 16 octobre 2017, la faille a été gardée secrète pendant plusieurs semaines, afin de laisser le temps aux fabricants et éditeurs de logiciels de développer des parades. Comment vérifier si votre entreprise est affectée ? Et comment se prémunir au mieux des risques à l’avenir ?

Le réflexe des mises à jour

Première précaution : assurer que tous vos appareils sont à jour. Cela comprend vos natels, vos ordinateurs portables, mais aussi vos tablettes, et surtout vos équipements réseau. Mes équipements quoi ? Evidemment, peu de monde se soucie de la box Internet qui a été posée là il y a quelques années, et qui tourne silencieusement. Ou encore de l’antenne WiFi perchée sur un mur et que plus personne ne voit. Ah ! çe n’est donc pas un luminaire en panne ?

L’intérêt de cette histoire est de mettre en lumière ces équipements : eux aussi ont aussi besoin de bons soins. Les routeurs utilisés par les PME sont maintenant équipés pour la plupart avec un accès WiFi intégré. Et ils sont donc concernés par la faille Krack, soyez en sûr. Vous devez donc être certain qu’une mise à jour est disponible pour la contrer.

Cela sera d’autant plus facile à faire si vous utilisez du matériel professionnel. Les constructeurs prennent un soin particulier à privilégier le déploiement de mises à jour sur le matériel dédié aux entreprises. Question d’image, et de risque aussi : ils ne voudraient pas être poursuivis pour avoir mis en danger les affaires de leurs clients. Si votre PME utilise un routeur ou un point d’accès WiFi grand public, la mise à niveau risque de se faire attendre plus longtemps que prévu. Ou de ne pas arriver du tout pour le matériel bas de gamme en provenance d’Asie. Toute chose à un prix.

Que des mises à jour soient disponibles est une chose. Encore faut-il les appliquer. Un prestataire professionnel s’en chargera.

Confiez les clés aux experts

Maintenant, vous allez me dire que réaliser ces mises à jour n’est pas votre tasse de thé. Je vous comprends. Bonne nouvelle : toutes ces actions de maintenance peuvent être réalisés à distance, et de manière automatique. Par exemple : les natels de votre entreprise peuvent être gérés de telle sorte que les mises à jour y soient poussées dès leur disponibilité. Et que la connexion au réseau WiFi de l’entreprise soit inopérante tant qu’elles ne sont pas appliquées. Idem pour votre parc de laptops : il et possible de forcer les mises à jour Windows vers l’entier des machines. Enfin, et c’est ce qui nous préoccupe, votre réseau WiFi peut entièrement configuré à distance, mises à jour comprises.

Idéalement, vous aimeriez confier cette surveillance à une équipe de professionnels. S’appuyant sur des matériels éprouvés, rompue aux questions de sécurité, et capable d’en assurer le suivi adéquat. Si vous ne disposez pas encore de matériel d’entreprise digne de ce nom, et que vous ne savez plus si quelqu’un est responsable de vos mises à jour, vous avez besoin d’un tel interlocuteur. Suivez mon regard… Steel Blue vous propose des routeurs et accès WiFi professionel en location, 100% gérés, incluant les mises à jour et leur déploiement. Nous vous proposons aussi de gérer et protéger votre parc mobile (natel, laptops) grâce à nos solutions 100% en ligne.

Envie d’en savoir plus ? Contactez-nous sur le formulaire ci-dessous pour un état des lieux et la suggestion de quelques solutions. Une surprise vous y attend : pour vous aider à franchir le pas, nous vous offrons une borne d’accès WiFi professionnelle et sa licence Cloud pour une année. Gratuitement.

Steel Blue : all inclusive, all right !


Krack, vous connaissez ? Il s’agit de la dernière faille de sécurité WiFi à l’échelle du globe, touchant plusieurs centaines de millions d’appareils. Et probablement vous.

Révélée le 16 octobre 2017, elle affecte le protocole sans fil le plus utilisé dans le monde (WPA2) et permet à un pirate d’intercepter des données échangées entre vos appareils et votre réseau d’entreprise. Mots de passe ou numéros de carte bancaire pourraient être compromis.

Tous les appareils exploitant ce protocole, c’est-à-dire une très large majorité dans le monde, sont concernés. Les fabricants et éditeurs de logiciels déploient graduellement des mises à jour. Encore faut-il les appliquer sur votre matériel…

Le meilleur moyen de vous en assurer ? Equipez vos bureaux d’une borne WiFi professionnelle Cisco Meraki, gérée à distance et maintenue à jour par Steel Blue. Vous n’en avez pas les moyens ? Ca tombe bien, on vous offre le matériel. Gratuitement et sans engagement. Avec la licence Cloud pour une année.

Les bornes d’accès Cisco Meraki vous font bénéficier de performances et d’une sécurité professionnelles pour votre accès sans fil en entreprise. Les services de gestion Steel Blue vous garantissent en plus la supervision, le suivi et les mises à niveau dans les meilleurs délais. Afin que vous gardiez l’esprit tranquille.

Votre meilleure défense sera donc l’attaque. Protégez vos affaires avec des équipements professionnels, et faites face aux prochaines menaces en toute confiance.

Prenez contact avec nous grâce au formulaire ci-dessous pour connaître les modalités d’obtention de votre borne et de sa licence. C’est complètement gratuit et sans engagement de votre part.

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La rentrée est là. Et avec elle, la préparation des budgets pour l’année prochaine. Si l’habitude consiste à moduler les postes existants, le bouleversement pourrait bien venir de votre informatique. Les technologies Cloud remettent en cause la façon dont vous consommez l’IT. Avec des gains conséquents à la clé, à condition d’éviter quelques pièges.

Septembre arrive. Les projets pour le prochain exercice de votre PME sont sur la table. Il faut fixer les priorités, et définir les finances qui vont avec. Parent pauvre du budget, l’informatique se résume souvent « au moins possible ». Stop ! Plutôt que de subir ce poste, je vous propose d’en faire une vraie force pour 2018. Objectif : transformation de votre informatique dans le Cloud, économies et contrôle total. Mais pour cela, il y a quelques écueils à éviter. Voici 5 choses que vous devriez éviter de faire dans votre prochain budget.

1 – Oublier de faire un (vrai) budget informatique

Ca peut paraître paradoxal, mais 10% des PME ne savent absolument pas quel est leur budget informatique. Et les autres en ont généralement une vision assez floue. Entre la connexion Internet, les achats de matériel, les licences et la multiplicité des fournisseurs, difficile d’y voir clair.

Pourtant, c’est la clé de la préparation de votre budget : définir d’où vous partez, avant même de savoir où vous allez arriver. Et si vous ne vous sentez pas l’âme d’un spéléologue pour partir à la chasse aux informations, faites-vous aider. Un spécialiste digne de ce nom saura égrener l’ensemble des lignes de dépenses informatiques et consolider vos différentes factures.

2 – Acheter toujours plus de matériel

Une fois votre budget effectif connu, la tentation est grande de le reporter simplement sur l’année suivante, modulo quelques investissements. Erreur ! Connaître votre budget est l’occasion rêvée de le transformer. Et de passer d’une logique d’investissement à une logique de dépenses opérationnelles. En d’autres termes : louer des services à la demande plutôt que d’acquérir des machines et de les exploiter.

Un PC classique de 150W qui tourne en continu, c’est 25.- sur votre facture d’électricité. Tous les mois, et pour chaque poste.

Le Cloud vous permet aujourd’hui de souscrire à n’importe quel type de ressource, mensuellement : vos licences Office comme votre messagerie, mais aussi vos postes de travail et vos serveurs applicatifs. Avec l’avantage de pouvoir adapter à la hausse ou à la baisse en permanence. Et de vous éviter de vous retrouver avec du matériel ou des logiciels sur les bras.

3 – Eviter d’être éco-responsable

Ne plus acheter de matériel, c’est aussi ne pas avoir à le recycler. Vous faites un premier geste pour la planète, mine de rien. Mais ça ne s’arrête pas là. Ne plus exploiter de machines, c’est aussi abaisser sa consommation d’électricité (le courant est d’ailleurs un poste souvent oublié dna le budget IT). Saviez-vous qu’un PC de 150W qui tourne 24 heures sur 24, c’est en moyenne 25.- /mois ? Et au moins 100.- pour un serveur ? 10 postes et un serveur, ça fait quelques milliers de francs à la fin de l’année : pas négligeable dans le budget d’une PME.

La dématérialisation dans le Cloud vous permet aussi de mettre en place le télétravail, et d’éviter des déplacements qui ne sont pas toujours utiles. Bref, modifier la façon dont vous consommez l’informatique, c’est une opportunité de faire des économies mais aussi de protéger les ressources de la planète. Avec la chaleur qu’il a fait cet été, on prend non ?

4 – Négliger la sécurité

Les cyberattaques se multiplient, à l’échelle mondiale. Elles visent toutes les plateformes, et toutes les entreprises. Et le rythme va s’intensifier, soyez en sûr. Mais maintenant que votre budget informatique est en mode location, vous disposez de tous les atouts pour augmenter votre sécurité sans vous ruiner. En commençant par la protection de vos données, qui passe par des sauvegardes fréquentes et régulières.

La loi change en 2018. Soyez prêt car les sanctions pourraient être lourdes.

Bonne nouvelle : c’est rapide à mettre en place, assez économique, et cela vous met à l’abri de bien des rançongiciels. Votre sécurité profitera aussi de la mise en place de filtrages efficaces, pour éviter que les menaces arrivent jusqu’à vous : traitement des emails et du trafic réseau. Votre stratégie consistera, in fine, à définir votre exposition au risque et à souscrire aux abonnements adéquats en conséquence.

5 – Ne pas se mettre en conformité avec la loi

En mai 2018, la réglementation européenne (GDPR, de son petit nom) va profondémment changer. Elle adaptera la façon de traiter les informations relatives aux citoyens membres de l’UE. Dans son sillage, le projet de modification de la Loi sur la Protection des Données va reprendre ces directives européennes. Les PME de la Confédération devront adapter La façon dont elles stockent et échangent les données personnelles. Au delà de la question de gouvernance, vous devrez vous assurer que votre informatique est capable de respecter ces nouvelles règles. Et si ça n’est le cas, votre budget informatique devra prendre en compte des adaptations.

Mais vous savez quoi ? Dès lors que vous êtes passé en location mensuelle, ces changements seront d’autant plus faciles à mettre en place et absorber, sans mettre à mal votre résorerie. Les solutions Cloud sont les mieux placées pour vous permettre de rester dans le droit chemin à moindre coût (cryptage, gestion des accès). Et ne pensez pas que vous pourrez vous en affranchir : les sanctions pour les contrevenants n’ont jamais été aussi élevées que ce que prévoit cette modification de la législation.

Maintenant que vous savez quoi faire, reste à définir quand et comment. Sollicitez Steel Blue à l’aide du formulaire ci-dessous pour vous accompagner dans la transformation de votre budget et de votre informatique. Notre expertise Cloud permet à nos clients de changer d’époque et de passer d’une ère d’achat et d’exploitation de matériel à une ère de consommation de services informatiques à la demande. Pour le plus grand bien de leurs finances. Et de votre budget  informatique 2018.

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Une nouvelle cyberattaque de type ransomware a encore frappé cette semaine une grande partie de la planète. Grands groupes comme petites entreprises sont touchés. Le processus de propagation, désormais bien connu, continue malgré tout de fonctionner à plein régime. Si nous sommes dépendants de failles de sécurité dans nos chers ordinateurs, il n’y a pas de fatalité. Voici 3 bonnes pratiques pour éviter le pire.

Wannacry au mois de mai, Petya cette semaine. Les cybercriminels s’en donnent à cœur joie. Si votre ordinateur se bloque, redémarre et affiche un message criard vous demandant de vous acquitter de quelques centaines de dollars, vous êtes piégé. Vos données sont cryptées, et ne seront décodées qu’après le paiement d’une rançon en bitcoin, la monnaie virtuelle. Sans aucune garantie d’ailleurs, puisque seulement 1 entreprise sur 10 retrouvera finalement ses fichiers après paiement.

Si à la maison, les dégâts peuvent être circonscrits à votre seul ordinateur, le risque est plus grand en entreprise. Les rançongiciels s’attaquent en effet aux fichiers partagés sur le réseau. Et bloquent l’ensemble de vos applications, et de votre activité. Mais quelques réflexes vous éviteront d’en arriver là.

Rester vigilant face aux virus (ransomware)

Ces virus se propagent généralement par email. Si les systèmes de messagerie des grands fournisseurs sont mis à jour très rapidement, ça n’est pas toujours le cas ailleurs. Le filtrage ne s’effectue donc pas toujours à la source. Et l’email infecté arrive dans votre boîte. Si vous avez le moindre doute sur l’expéditeur de l’email, ne l’ouvrez pas et ne cliquez sur aucun lien qu’il contiendrait.

L’expéditeur peut cependant vous paraître familier, puisque le virus peut exploiter le carnet d’adresse de votre correspondant et envoyer des emails en usurpant son nom. N’hésitez pas à l’appeler au moindre doute. Et vérifiez aussi l’adresse réelle d’expédition, car si le nom peut vous paraître valide, les pirates sont généralement forcés d’utiliser une adresse d’expédition différente. Petite astuce : un clic droit sur le nom de l’expéditeur, et l’adresse d’envoi sera dévoilée. Si elle ne correspond pas à celle habituellement utilisée par votre expéditeur, direction poubelle (que vous viderez évidemment).

Se mettre à jour

Autre précaution primordiale : la mise à jour de vos systèmes. De tous vos systèmes : ordinateurs individuels, mais aussi serveurs, et équipements réseau. Si vous bénéficiez par exemple sur votre routeur d’accès Internet de fonctions de filtrage avancées, elles pourront aussi supprimer les emails indésirables en amont de votre boîte. Pour peu que votre équipement soit à jour. Disposer d’un système de protection des PCs digne de ce nom est également indispensable. En plus de l’antivirus, à jour lui aussi, vous pouvez opter pour un système complet de gestion des postes, qui assure notamment la conformité des ordinateurs qui accèdent au réseau.

Inutile de payer : dans 9 cas sur 10, les entreprises qui s’acquittent de la rançon ne récupèrent pas leurs données

Les programmes malveillants qui se sont répandus récemment exploitent des failles de sécurité des systèmes. Qui, pour certaines, sont très anciennes. Accepter les mises à jour que Windows vous propose est donc un geste simple qui vous protégera aussi. Petit conseil : n’hésitez pas à laisser Windows les installer pour vous, automatiquement et de manière transparente. En quelques clics, vous vous débarrasserez de cette tâche. Et vous aurez la garantie d’un maintien à niveau dans les meilleurs délais.

Mettre à l’abri

Si malgré tout cela, votre ordinateur est infecté, et vos données compromises, vous devrez passer à l’étape « remédiation ». Votre PC devra être entièrement nettoyé et réinstallé. En profondeur, c’est à dire avec un effacement complet. Vos données seront ensuite remises en place une fois le nettoyage terminé.

Mais la menace la plus importante pèse sur vos données elles-mêmes. Que faire dès lors qu’elles sont cryptées ? La bonne pratique consiste à les protéger par des backup en dehors de vos locaux, pour éviter qu’elles soient elles aussi codées. Petite astuce : ne vous contentez pas d’une seule sauvegarde, mais conservez aussi un historique. La multiplication des backups permet de revenir suffisamment en arrière dans le temps pour récupérer des données saines. Il arrive en effet que des données cryptées soient à leur tour sauvegardées. Avec une rotation de 7 jours par exemple, vous êtes à l’abri…

Passé ces quelques conseils, vous pourrez vous demander si l’intervention d’un spécialiste ne pourra pas vous apporter encore plus de sérénité. Chez Steel Blue, nous proposons à nos clients les solutions de sécurité des leaders du marché, qui leur permettent de se protéger des rançongiciels, et de contrôler la conformité de leur parc informatique aux petits oignons. Prenez rendez-vous avec nous dès maintenant avec le formulaire ci-dessous pour une évaluation de vos risques. Mieux vaut prévenir que guérir, non ?

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Selon Crédit Suisse, 20% des PME suisses prévoient de céder la propriété de leur entreprise dans les 5 ans. Dans ces moments cruciaux, les tâches ne manquent pas : audit, évaluation, négociation, transition. L’informatique reste en général le parent pauvre de ces acquisitions. Elle est pourtant le support incontournable de la bonne marche des affaires. Faire les bons choix, dès le début, peut vous sauver la mise. Voici 3 conseils pour un rachat en toute sérénité.

Racheter une entreprise, c’est répondre en premier lieu à un enjeu simple : assurer la continuité des affaires. Avant d’entamer la nécessaire phase des transformations. L’informatique reste une pierre majeure de l’édifice. Et pourtant elle est souvent négligée. Vécue comme un mal nécessaire et une source de coûts, elle est rarement perçue comme un outil de productivité.

Et pourtant, les données font partie intégrante, avec le savoir-faire et les actifs, de la valeur de l’entreprise. Sous-estimer l’état de l’informatique, et donc la pérennité de ces données, c’est s’exposer à un risque important. Risque auquel il sera difficile de faire face en cas de souci. Autant anticiper les choses le plus possible. Sans pour autant mettre à mal la trésorerie, particulièrement sollicitée en ces temps de reprise.

Stabiliser l’existant

Premier point à traiter d’urgence : assurer la protection et la duplication des données. Cela commence par leur localisation : si elles sont centralisées sur un serveur, c’est mieux. Si elles se trouvent sur des postes isolés, il faudra en faire le tour, un par un. La question suivante consistera à définir si une copie existe, pour chacune des sources de données, et si cette copie est automatique. Et enfin, si ces copies sont effectuées dans vos murs ou ailleurs.

Idéalement, vous devrez profiter de cet inventaire pour centraliser vos fichiers, dans la mesure du possible, sur votre serveur de fichiers. Cela facilitera leur gestion, et la mise en place des copies. Celles-ci auront lieu obligatoirement dans le Cloud, pour vous prémunir des risques basiques : incendie, vol, dégât des eaux. Bonne nouvelle, les coûts restent minimes, que ce soit ceux des outils de sauvegarde ou des espaces de stockage Cloud. Quelques dizaines de francs par mois pour 1TB, soit 1’000GB. La sécurité n’a pas de prix, mais en l’occurrence il est modique.

Evaluer les risques informatique

Vous voilà donc à l’abri. Une fois les données sous contrôle, vous pouvez envisager d’estimer parmi vos ordinateurs ce qui est encore en état et ce qui ne l’est plus. Et pour les machines qui sont en fin de vie, vous devrez vous poser la question de leur remplacement. Avant même de parler d’évolution et de modernisation, la question à vous poser n’est pas tant « quand », mais « si ». En d’autres termes : devez-vous uniquement lutter contre la vétusté, ou envisager un changement plus drastique ?

Opter pour le Cloud lors de votre rachat, c’est changer d’époque et devenir un consommateur de services informatiques à la demande

Prenons un exemple : votre serveur de messagerie est à bout de souffle. Il contient des années d’archives email, soit une bonne partie de la connaissance de l’entreprise. Et comme il montre des signes de faiblesse, vous vous dites qu’il faut le remettre à jour. Ce qui risque de vous coûter un bras. Votre trésorerie y est-elle prête ? Il n’y a plus de raison aujourd’hui de s’équiper d’un serveur dédié dans une PME. Les solutions en ligne telles que Workmail ou Office365 vous offrent mieux pour le prix d’un abonnement mensuel abordable. Et évidemment, vous aurez une fiabilité sans faille, tout en bénéficiant plus tard de nouvelles fonctionnalités et de possibilités de modernisation.

Evoluer vers le cloud

Maintenant que vous savez ce que vous devez changer, reste maintenant à définir un plan d’évolution. Et pour chaque pièce de votre infrastructure, vous devrez vous demander si vous dématérialisez ou pas. Ne nous mentons pas : il y a peu de raison de reprendre un cycle d’investissement dans du matériel. Pour des raisons économiques, et aussi pour des raisons de pérennité dans le temps. Votre situation est finalement une réelle opportunité : celle de changer de modèle. Et d’utiliser le risque de votre informatique vieillissante comme une réelle opportunité de modernisation.

Utiliser des services Cloud vous garantira d’éviter les investissements massifs. En adaptant la consommation de ressources informatiques à votre activité, à la hausse ou à la baisse. Avec à la clé un contrôle permanent des coûts et des risques. Le paiement à l’usage de ces services via des forfaits mensuels tout inclus, sans engagement, vous garantit d’éviter les surcoûts de fin d’année ou de fin de mois.

Que vous soyez en plein rachat, en phase de consolidation ou en étude de reprise, le timing est le bon. Chez Steel Blue, nous accompagnons nos clients dans ce changement. Et nous les faisons changer d’époque : ils passent de l’achat et l’exploitation de leur matériel informatique, à une ère de consommation de services informatiques à la demande. Vous êtes aussi dans cette situation ? Demandez-nous de venir vous voir pour évaluer la pertinence de nos solutions dans votre cas en vous inscrivant ci-dessous. Vous ne risquez rien, à part de profiter du Cloud comme d’un levier majeur dans la réussite de votre rachat d’entreprise.

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Comme tous les ans, votre PME va accueillir son lot d’étudiants pendant la période estivale. Comptabilité, administratif, technique : les sujets ne manquent pas. Il faudra leur trouver un bureau et un ordinateur. Si le mobilier ne pose généralement pas de souci, le poste de travail est souvent plus problématique. Obsolètes, pas à jour, lentes : les machines que vous leurs dédiez ponctuellement ne sont pas les outils idéaux. A moins que vous ne changiez votre fusil d’épaule.

La scène se passe en général une semaine avant le début des vacances. Les stagiaires sont bientôt là, il faut leur trouver leur matériel informatique. On fait le tour des machines mises au rebus, on tente de les démarrer, et les soucis commencent. Comme elles ne sont plus vouées qu’à être utilisées de temps en temps, vous les avez sorties des cycles de maintenance. Les mises à jour ne sont plus faites depuis des mois, l’antivirus est hors d’âge et vous avez changé de version d’Office entre temps. La solution de repli consiste en général à sauver ce qui peut l’être, et compléter avec des machines nouvelles. Mais il ne vous reste qu’une semaine. Et votre budget va souffrir…

Des machines… sans matériel (desktop virtuel)

Heureusement, l’alternative du poste virtuel s’offre à vous. Au lieu de tenter désespérément de mettre à jour votre vieille bécane, contentez-vous de la transformer en terminal pour vous connecter à un poste virtuel. Il suffit d’y installer une application. Non seulement, les postes virtuels peuvent être mis en service en quelques heures : vous serez dans les temps même en ne vous accordant que quelques jours. Mais en plus vous ne les louez que pour la période du stage. Résultat : zéro investissement, et des machines sécurisées et à jour pour votre stagiaire. Accéder au poste virtuel ne demande que très peu de ressources, même vos plus vieilles machines feront l’affaire.

Les licences aussi

Avoir une machine à disposition, c’est parfait. Mais votre étudiant n’en fera rien sans la suite de logiciels qui va bien. Tout comme vous avez fait l’inventaire de votre matériel, vous faites celui de vos applications. Mêmes causes, mêmes effets : plus de licences disponibles, des clés qu’on ne trouve plus. Là encore, le poste virtuel peut être loué avec toutes les licences qu’il vous faut. Le temps du stage seulement. Vous bénéficiez donc des dernières versions d’Office et d’Outlook, pour un coût mensuel forfaitaire. Idem pour la messagerie : vous souscrivez à une boîte email le temps qu’il faut, et vous la supprimez lorsque votre étudiant est parti.

Bring Your Own Device

Vous voulez aller encore plus loin ? Laissez vos stagiaires utiliser leur propre matériel ! Plutôt que de s’habituer à une nouvelle machine, rendez-les efficaces dès le premier jour en leur proposant de se connecter depuis leur ordinateur portable préféré. PC ou Mac, pas de souci, les deux plateformes sont supportées. Ils peuvent même terminer leur rapport depuis la maison s’ils sont en retard. Et vous gardez le contrôle sur vos données, puisque le portable et le poste virtuel ne se parlent pas : les données ne passent pas de l’un à l’autre. La meilleure façon d’être à la fois à la maison et au travail. Les générations « Z », qui forment le gros des stagiaires, vont adorer.

Vous avez donc tout en main pour accueillir vos stagiaires dans les meilleures conditions possibles, sans sacrifier votre trésorerie, ni planifier les choses à l’avance. Et je parie qu’une fois que vous aurez goûté au poste virtuel pendant l’été, vous vous demanderez pourquoi ne pas poursuivre l’expérience avec vos postes permanents. Les avantages sont les mêmes pour vos employés fixes : machine toujours à jour, licences en location, accès depuis le bureau ou en mobilité, paiement mois par mois au poste près. Avec une fiabilité et une flexibilité à toute épreuve.

Il ne vous manque plus qu’une démonstration ? Nous venons volontiers chez vous pour vous convaincre définitivement, il vous suffit de vous inscrire ci-dessous. Mais avant l’été de préférence.

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Vous aimeriez découvrir les outils de l’entreprise digitale ? Vous souhaitez savoir comment la numérisation peut améliorer votre productivité et votre façon d’interagir avec vos clients ?

Nous sommes particulièrement heureux de vous inviter au Workshop Microsoft Customer Immersion sur le thème de la productivité le 19 mai 2017. La technologie peut être le facteur clé pour faire avancer votre entreprise et vous aider à vous démarquer de la concurrence.

Accompagnés par les animateurs Microsoft, sur un environnement de démonstration local, vous effectuez des tâches concrètes de votre quotidien professionnel et apprenez comment les solutions Microsoft peuvent contribuer à accroître votre productivité.

Ce Workshop se tiendra au siège de Microsoft à Vernier, de 08:00 à 12:15. Il s’adresse aux responsables et leurs équipes inter-départements. Il s’agit d’un événement exclusif, entièrement gratuit, réservé aux clients et contacts Steel Blue. Le nombre de places est limité, afin de profiter pleinement des experts Microsoft : inscrivez-vous dès maintenant sur lien ci-dessous.

Agenda

08:00: Arrivée et inscription

08:30: Brève présentation du concept Microsoft « New World of Work » (NWOW)

09:00: Experience Workshop « Comme nous travaillons aujourd’hui » – Parmi les scénarios présentés vous découvrirez notamment

Scénario 1: Travail mobile

  • Comment je peux avoir accès aux informations commerciales en déplacement
  • Nouvelles options de communication avec Skype

Scénario 2 : Collaboration productive

  • Comment se présente le nouvel Office
  • Comment puis-je organiser mes rendez-vous
  • Possibilités d’organisation avec Intranet et sites d’équipe
  • Travail collaboratif et partage de documents
  • Utiliser Yammer comme instrument de communication externe
  • Le nouveau carnet de notes « OneNote »

Scénario 3 : Protection des données et sécurité

  • Comment puis-je protéger les appareils mobiles

11:45:  échange et Q&A

Nous nous réjouissons de pouvoir compter sur votre participation !

Si virtualiser ses fonds est devenu la norme pour les petites entreprises, en faire autant avec son informatique reste une pratique minoritaire. Car même si les patrons romands sont conscients du risque, ils pêchent parfois par défaut d’information. Pour répondre à deux questions simples : pourquoi et comment. Eléments de réponse.

Quel entrepreneur conserverait se trésorerie au fond d’un coffre dans ses locaux ? A de rares exceptions, aucun. Avec la numérisation de l’économie, les données informatiques sont devenues un bien inestimable des PME. Et pourtant, elle restent enfore confinées dans des serveurs, hébergés dans les locaux de l’entreprise. Vous savez, dans la petite salle du fond. Probablement à la place de l’ancien coffre fort. Alors que confier son argent – virtuel – à une banque est un réflexe naturel, il reste encore du chemin à faire côté informatique. Les bonnes raisons de reculer ne manquent pas. Heureusement, les solutions non plus.

Et si vous arrêtiez de jouer avec le feu ?

Au pays de l’industrie bancaire, certaines habitudes sont en effet tenaces. Alors que nos flux de trésorerie sont entièrement dématérialisés, l’informatique a parfois pris du retard. Beaucoup de retard. La majorité des visites chetz les clients amènent au même constat : un petit disque dur USB planté sur un serveur de fichiers. Histoire d’avoir une copie. La couche de poussière sur ce disque indique qu’il n’est que rarement sorti à l’extérieur des locaux. Preuve que les données informatiques sont en danger. Vous vous reconnaissez ?

8’000.- CHF : c’est le coût moyen d’une perte de données pour une PME

Au delà du simple vol, risque comparable à celui que vous courriez avec votre coffre, vos données ne sont pas non plus à l’abri d’un incendie, d’un dégât des eaux, ou tout simplement d’une défaillance du matériel. Adieu alors les années d’archive. Et bonjour les pertes d’exploitation, aux coûts exorbitants. Comme 5% des PME qui subissent une perte de données chaque année, vous vous exposez à coût moyen de 8’000.-.

La peur de l’inconnu

On le comprend rapidement, externaliser dans le Cloud ses serveurs et les données informatiques qui vont avec relève donc a priori du bon sens. Alors pourquoi n’est-ce pas plus souvent le cas dans le TPE et petites PME ? Par crainte, parfois. Souvent, en fait. Ne pas faire confiance à une banque, surtout dans nos contrées, serait une ineptie. Mais faire confiance à un hébergeur, c’est une autre histoire. Particulièrement s’il se trouve en dehors des frontières helvètes. Heureusement, quelques compagnies avec pignon sur rue ont relevé le défi en Suisse romande. Exoscale par exemple, ou encore le géant Swisscom. Chacun dans leur domaine, ils fixent de nouveaux standards et font des pieds et de mains pour rassurer les petits clients.

En 2015, Microsoft a accepté de fournir à la justice les données pour 0.00003% des demandes reçues

Hors du territoire suisse, les géants internationaux font aussi de gros efforts pour attirer la clientèle locale. Disponibilité quasi continue, risque de perte infinitésimal: Microsoft ou Amazon Web Services soignent leurs niveaux de service. Et garantissent une protection hors pair de vos précieux fichiers. Reste le risque légal : si les prestataires suisses gardent un avantage, la révision prochaine de la Loi sur la Protection des Données va amoindrir cet atout. Et les leaders du secteur sont de moins en moins enclins à livrer vos données en pâture à la NSA : en 2015, sur plus de 70’000 demandes d’extraction de données, Microsoft est entré en matière pour 7 cas concernant des entreprises en Europe. Et n’a livré les données que pour 2. Soit environ 0.00003%…

Un spécialiste sinon rien

Bref, vous avez le choix. Mais en tout cas, la protection des données en dehors des vos locaux n’est objectivement plus une source de questionnement. Ceci étant dit, le simple fait de se décider à externaliser ses données n’est pas suffisant. La mise en place au niveau d’une entreprise demande de l’organisation et de la cohérence. Afin de garantir la sécurité des données informatiques, et en conserver le contrôle. En effet, les fuites proviennent le plus souvent de l’utilisation sauvage et désordonnée d’outils grand public. iTunes, Dropbox ou WeTransfer sont parfait pour synchroniser quelques photos. Mais probablement par votre dernier contrat client ou votre grille tarifaire.

Ce manque d’accompagnement constitue le second frein à l’externalisation des données informatiques dans les PME. Il convient donc de mettre tout cela en musique. Avec des outils dédiés aux professionnels, et intégrés à votre environnement et vos processus de fonctionnement. Les PME font alors face à un autre défi : celui du conseil. Du conseil avisé, devrait-on dire. Car l’externalisation des données et des serveurs dans le Cloud devient une affaire de spécialiste. Et les petites entreprises, face au flou que peut leur inspirer le Cloud, sont plus que jamais en attente de recommandations. Adopter à ce moment une vision à 360°, sur vos besoins comme sur votre métier, permet d’adopter une réelle stratégie Cloud, cohérente et pérenne dans le temps.

Encore faut-il tomber sur le bon prestataire de service, direz-vous. A la lecture de ces quelques lignes, vous aurez compris que Steel Blue peut vous accompagner sur le chemin de l’externalisation dans le Cloud. Adossé aux fournisseurs de référence dans le Cloud, nous vous aidons à faire s’évanouir vos craintes. Spécialisé dans le secteur des petites PME, fort de références remarquables en Romandie (Genève, Lausanne, …) ou ailleurs, Steel Blue est le partenaire de choix pour vous aider à transiter vers le Cloud. Demandez-nous de passer vous voir, nous nous ferons un plaisir de vous présenter nos solutions, quel que soit votre secteur d’activité. Et vous aider à enfin protéger vos données comme elles le méritent.

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Les loyers de bureaux sur Genève sont en chute libre. Et le taux de vacance de ces locaux (6%) n’avait pas été aussi élevé depuis bien longtemps. De quoi inciter les entrepreneurs à déménager. Mais pour réussir la mouvement, il faut en limiter les contraintes. Déplacer son informatique en fait partie. Voici quelques pistes pour bouger tout en douceur.

L’entrepreneur lambda a construit son informatique au fil de l’évolution de sa société. Si bien qu’au moment du déménagement, le volume de son infrastructure IT s’avère conséquent. Routeur Internet, PCs, serveurs, stockage de données, WiFi, réseau filaire : autant d’éléments qu’il faut arrêter, démonter, déplacer, puis remonter et remettre en route. Sans compter les risques de casse inhérents à tout transport. L’opération n’est donc pas simple. Et être opérationnel au jour J ressemble à vrai un défi.

Rester au bout du fil… ou pas

Le premier challenge concernera les câbles informatiques. En fonction de la répartition des postes et des bureaux, vous devrez faire intervenir un électricien, et tirer de nouvelles prises informatiques, ou même revoir l’entier du câblage. La fin de la téléphonie classique et le passage au tout IP fin 2017 en rajoute une couche. Les téléphones migrent en effet sur le réseau informatique. Alors sautez autant que possible cette phase en optant pour une couverture WiFi optimale. Les bornes sans fil professionnelles permettent aujourd’hui des débits théoriques de plus de 1Gbps. Et une gestion des flux avancée. De quoi alimenter sans fausse note plusieurs dizaines de postes, et faire passer votre téléphonie.

Le vendredi, vos collaborateurs quittent leur session de travail. Et ils la retrouvent le lundi dans les nouveaux bureaux, telle qu’ils l’avaient laissée.

Voyager immobile

Mais surtout, ce sont vos PCs et vos serveurs qui seront les plus sensibles au déménagement. Parce que les disques durs n’aiment pas être arrêtés et redémarrés, et encore moins bougés. La solution ? L’externalisation et la virtualisation ! Profitez des quelques mois de dédite de votre bail pour migrer vos données et vos applications sur des serveurs Cloud. Peu importe les locaux dans lesquels vous vous rendez, les données restent alors bien au chaud, sans risque de casse ou de perte. Les applications, elles, demeurent disponibles pendant toute la phase de transition. Vous pouvez alors vous concentrez sur la continuité de vos affaires.

Changer en toute transparence

Le meilleur est pour la fin. Vos PCs peuvent subir le même sort. Avant de partir, migrez sur une solution de postes de travail virtuels dans le Cloud. Le vendredi, vos collaborateurs se connectent sur leurs postes sans avoir à perdre de temps pour faire transiter leur matériel. Et le lundi, ils peuvent se connecter depuis les nouveaux bureaux et retrouver leur session telles qu’ils les avaient laissées. Sans aucune interruption de travail ou presque. Et si par malheur, le déménagement devait prendre du retard, proposez leur de travailler depuis la maison. Leur poste virtuel est aussi accessible depuis leur domicile, sans qu’ils fassent la différence.

Résumons. Avant de déménager, profitez du temps à disposition pour virtualiser votre informatique. Et équipez vos nouveaux locaux avec le minimum de connectique : une connexion Internet solide, du WiFi qui le sera tout autant. Le jour du déménagement, laissez vos collaborateurs emporter leurs terminaux (laptops, terminaux légers) et se (re)connecter en WiFi pour reprendre leur travail là où ils l’avaient laissé sur leur poste virtuel. Le déménagement informatique n’est alors plus un casse-tête.

Pour autant, vous aurez bien besoin d’un coup de main, non ? Faites appel à l’expertise de Steel Blue pour rendre votre informatique compatible Cloud. Virtualisez-la et centralisez-la avant de prendre possession de vos nouveaux bureaux. Vous passerez alors l’épreuve du déménagement sans encombre.

Steel Blue : all inclusive, all right !

Imaginez : vous arrivez au travail un beau matin, et contrairement aux jours précédents, votre application préférée ne fonctionne plus. Branle-bas de combat, vous tentez d’appeler votre informaticien. Et c’est là que les ennuis commencent pour votre TPE et sa trésorerie. Expérience financière douloureuse garantie. Mais les solutions existent.

Qui n’a jamais connu la panne informatique à l’ouverture des bureaux ? Pour des raisons toujours obscures, cette satanée machine refuse de fonctionner. Pourtant, comme pour bien des équipements – véhicules ou électro-ménager par exemple, les pannes envoient toujours des signes avant-coureurs. C’est encore plus vrai pour l’informatique, qui dispose en standard de nombreux indicateurs qui avertissent des défaillances avant qu’elles n’arrivent. Outils d’analyse ou encore fichiers d’activité et d’erreurs sont autant de sources d’information pour connaître l’état de son système.

Maintenez le cap sur la maintenance

Alors, pourquoi les pannes arrivent-elles tout de même ? Pour que la boucle soit complète, il faut être à l’écoute de ces signaux remontés par la machine. Et ne pas se contenter d’attendre la défaillance technique. Un ordinateur est bien plus complexe qu’un simple lave-vaisselle. Il héberge des millions de lignes de code, qui sont autant de sources de failles ou d’erreurs. L’entretien préventif et la maintenance sont donc encore plus nécessaires pour ces appareils, voire vitaux.

Vous entrez alors dans une relation gagnant-gagnant entre vous et votre prestataire informatique

Malheureusement, dans la vraie vie, celle des TPE, ces actions ne sont que rarement menées. Et les choses sont plutôt faites à l’envers. Pensez donc : une panne peut finalement se transformer en aubaine pour le prestataire qui interviendra : pièces à changer, si ce n’est toute la machine, déplacement, intervention, main d’œuvre, nouvelle garantie, et j’en passe. Au final, plutôt que d’assurer une maintenance régulière et scrupuleuse pour éviter une panne, ne rien faire ne coûtera pas de temps, et se terminera, un jour ou l’autre, en un incident qui peut s’avérer juteux.

Choisissez le mode all inclusive

Mais alors, comment sortir de cette spirale ? Tout d’abord, externalisez et louez votre informatique dans le Cloud. Cela virtualisera votre système d’information, vous libérera des contraintes du matériel et vous évitera les investissements dus au remplacement. Ensuite, optez pour des services tout inclus, où cette location couvre non seulement le matériel virtualisé, mais aussi sa gestion. Support, maintenance, surveillance, mises-à-jour, rapports, documentation : tout doit être compris, sans limite. Vous entrez alors dans une relation gagnant-gagnant, où le bon fonctionnement de votre informatique est à votre avantage tout comme celui de votre prestataire. Moins de pannes, c’est une meilleure productivité pour vous. Moins de pannes, c’est moins d’actions correctives pour lui (pour lesquelles il ne touchera pas un franc de plus).

Tout cela est tentant, non ? Vous vous demandez alors probablement qui pourrait remplir ce cahier des charges ? Contactez Steel Blue dès maintenant, nous sommes les seuls en Romandie à fournir aux PME et TPE des services informatiques 100% Cloud, 100% loués, 100% externalisés, et 100% all inclusive. Pour 0% de surprises. Nos services permettent à nos clients de maîtriser les risques de leur informatique tout en en maîtrisant les coûts. Et de retrouver enfin confiance dans leur informatique et leur prestataire.

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