Votre bon vieux serveur tire la langue. Performances en berne, disques remplis à ras bord : il n’en a plus pour longtemps. Au moment de le remplacer, vous pensez à faire héberger votre nouveau matériel en dehors de vos locaux, en location. Et là, de nombreuses options s’offrent à vous. Avec des coûts et des caractéristiques bien différentes. On vous aide à faire le tri dans la jungle des offres.

Quand vous devrez envisager l’hébergement de votre serveur, les alternatives seront nombreuses. Serveur Cloud, dédié, privé virtuel, difficile de faire un choix. Vous vous sentez perdu ? Pourtant, quelques critères de décision simples vous permettront de viser juste. Prix, exclusivité des ressources, évolutivité diffèrent entre chaque modèle. On vous aide avec un passage en revue des possibilités, agrémenté de quelques conseils pour ne pas vous rater.

Le serveur dédié

Il y a quelques années encore, externaliser son serveur pouvait se résumer à remplacer votre vieille machine, par une autre, bien concrète et dédiée, mais hébergée chez un fournisseur de services. Finalement, une sorte de continuité dans le changement. Dans ce cas de figure, Le serveur vous est réservé (il est dédié), mais il ne vous appartient plus. Vous le payez mensuellement, bien souvent sous réserve d’un engagement dans le temps.

Si cette solution vous permet de vous abstraire du matériel dans vos bureaux, elle ne change pas grand-chose : vous paierez la machine tout le temps de son amortissement. Et en cas de panne, vous en subirez les désagréments : l’hébergeur doit changer les pièces défectueuses, et vous, subir une perte d’exploitation. Au moins vous bénéficiez de ressources garanties (mémoire, processeur, disque), mais au prix fort. Et vous avez les clés du camion pour paramétrer votre machine aux petits oignons.

Le serveur privé virtuel

Pour la faire courte, il s’agit donc d’un serveur dédié découpé en morceaux, sous forme de serveurs virtuels. Ces serveurs disposent généralement de ressources attribuées, mais pas garanties, afin de proposer un coût relativement modeste. La pratique veut que les ressources du serveur soient vendues plus d’une fois, celles-ci n’étant généralement pas utilisées à 100%. En comparaison du serveur dédié, vous n’avez plus la main sur le matériel, vous ne pouvez pas jongler avec les ressources (par exemple : ajouter de la mémoire), et les faire évoluer à la baisse ou à la hausse. A moins de le demander à votre hébergeur. Et une panne du matériel vous impactera toujours directement.

Utiliser un serveur Cloud, c’est bénéficier de ressources quasiment illimitées. Et être capable de les adapter en permanence.

Faisons une analogie : si un serveur dédié est une maison individuelle, un serveur privé virtuel est un appartement. Vous pouvez disposer de l’ascenseur dans son entier. Mais si quelqu’un a appuyé sur le bouton avant vous, vous devrez patienter un peu. C’est le principe des parties communes. Avec au bout du compte, des coûts partagés, mais pas d’exclusivité sur les ressources. Avantage : vous ne payez pas, par exemple, les licences du logiciel de virtualisation (VMWare, HyperV, Xen, etc.) que vous devriez supporter sur un serveur dédié.

Le serveur Cloud

Le serveur Cloud est une évolution du serveur privé virtuel. Au lieu de reposer sur une machine unique, il fonctionne sur un ensemble de ressources (disons plusieurs machines en parallèle). Cela vous protège déjà des risques de panne de matériel : en cas de crash, le serveur Cloud se déplacera virtuellement pour utiliser les machines physiques encore à disposition. Mais surtout, par effet de volume, ces ressources sont quasiment illimitées. L’effet de mutualisation vous garantit de toujours disposer de ce pour quoi vous payez (processeur, mémoire).

Reprenons notre comparaison. Au lieu d’habiter dans un bâtiment unique, vous regroupez les constructions et mutualisez les ascenseurs. Si cela ne vous prémunit pas que tous les lifts soient appelés au même moment, cela réduit grandement la probabilité d’un tel événement. Et surtout, en cas de panne d’un des ascenseurs, il est probable que vous ne vous en aperceviez même pas, les ressources étant toujours en nombre suffisant pour absorber une panne d’un élément. Dites-vous que les grands centres de données Cloud hébergent des milliers, voire des dizaines de milliers de serveurs.

L’heure du choix a sonné

Si le serveur dédié peut paraître rassurant, il appartient malheureusement au passé. Vous paierez pour ce que vous n’utilisez pas. Et vous serez limité dans vos évolutions. Il vous force à viser juste dès le départ lorsque vous devrez faire son dimensionnement. Ce qui peut être difficile pour une startup qui démarre, ou un site e-commerce qui n’a pas vu venir son succès du Black Friday. Le serveur privé virtuel vous apporte plus de flexibilité, mais dans des limites qui seront vite atteintes, et avec le risque toujours présent d’une panne.

Le serveur Cloud réunit finalement le meilleur des deux mondes : une garantie de disponibilité des ressources proches du serveur dédié, et une tolérance aux pannes meilleure que le serveur privé virtuel. Autre avantage, la possibilité de faire évoluer votre parc en l’espace de quelques clics, sans être limité par la machine qui fait tourner votre serveur Cloud, car ce sont en fait plusieurs machines. Des milliers. Les grands hébergeurs proposent même maintenant des systèmes de mise à l’échelle qui permettent de redimensionner automatiquement vos parcs de serveurs, au gré des événements et déclencheurs que vous aurez définis. Un dernier biscuit ? Le coût évidemment. Là encore, l’effet de masse joue à plein.

Voilà, vous avez maintenant toutes les cartes en main pour faire le bon choix. En fonction de vos besoins, de vos contraintes et de votre trésorerie. Si jamais le serveur Cloud vous intéresse, et on imagine que c’est le cas si vous avez lu jusqu’ici, il ne vous reste plus qu’à prendre contact avec nous grâce au formulaire ci-dessous pour une évaluation rapide. Nous pourrons vous fournir un devis et prendre avec vous l’ascenseur vers la dématérialisation.

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Comme chaque année, Genève aura été paralysée par la neige. Le 1er mars 2018 a été particulièrement chaotique. A tel point que certaines entreprises ont dû renvoyer leurs collaborateurs à la maison. Avec des conséquences financières non-négligeables. Le télétravail aura sauvé celles qui ont anticipé. Mais comment s’y préparer simplement dans celles qui sont en retard ?

On a l’impression de le redécouvrir tous les ans : en Suisse, il neige. Et même assez bas sur la Côte, au niveau du lac par exemple. Avec un trafic pendulaire en croissance permanente, chaque tempête est plus problématique d’une année sur l’autre. 2018 n’a pas échappé à la règle. Les entreprises parées pour le télétravail ont su faire face. Et limiter ainsi les dégâts. Pour les autres, ça aura été peut-être l’occasion de s’interroger sur une nécessaire transformation.

Et cette transformation commence par une mise en condition psychologique : la télétravail, c’est avant tout une question de confiance. Comment s’assurer que les collaborateurs travailleront bel et bien ? L’expérience montre qu’ils sont plutôt loyaux si le home office est mis en place de manière raisonnable et accompagnée. Les Services Industriels de Genève, lors de la mise en place de leur programme EquiLibre, ont même constaté que les collaborateurs travaillaient plus. Une façon de montrer que la confiance accordée était méritée.

Accéder à ses outils

Une fois passée l’écueil organisationnel, il faut s’attaquer à la technique. C’est ce qui nous intéresse en particulier. Si l’on y regarde de près, de quoi avons nous besoin pour travailler au quotidien ? Cela tient en 4 axes : notre téléphone, nos fichiers, notre messagerie et nos applications. Parfait ! Voyons si tout cela est accessible en dehors de vos bureaux.

Votre téléphone de bureau fonctionne probablement déjà sur Internet. Alors l’utiliser à la maison, ça ne change rien.

Commençons par le plus simple : la messagerie. Si l’accès à la mobilité a longtemps été réservé aux grandes entreprises, il est maintenant accessible aux plus petites. Un service Exchange dans le Cloud, tel qu’Amazon Workmail ou Microsoft Office 365, est disponible aussi bien du bureau que depuis la maison. En toute sécurité. C’est tout l’avantage des solutions Cloud à la demande : profiter des même services que les grands, mais pour un coût à l’usage.

Rester connecté

Vos fichiers maintenant. Deux approches sont possibles. Soit vous synchronisez vos fichiers entre vos appareils (le PC du bureau et l’ordinateur de la maison). Mais avec une solution professionelle, sous contrôle de l’entreprise. Microsoft OneDrive ou Amazon Workdocs feront cela très bien pour vous. Ou alors, vous vous connectez à distance grâce à un VPN au réseau de l’entreprise. La première solution vous permet de travailler hors-ligne. Le VPN évite de recopier les fichiers sur de trop nombreux appareils.

La publication d’application à distance, c’est un navigateur, un lien, et rien d’autre : vous voilà connecté !

Pour le téléphone, deux cas sont à étudier. Si le télétravail reste une exception pour faire face aux aléas, le mobile fera l’affaire. Mais si vous laissez vos collaborateurs 1 à 2 jours par semaine à la maison, il va falloir se pencher sur le sujet sérieusement. Avec la fin de la téléphonie classique, les communications passent maintenant par Internet. Votre système vous autorise donc probablement déjà à téléphoner avec un simple logiciel. Et pour les réunions en ligne, qu’elles soient audio ou vidéo, Skype for Business vous comblera.

Télétravail et applications

Restent les applications. Si par bonheur, celles que vous utilisez sont déjà hébergées dans le Cloud, il n’y a rien à faire de particulier. Si elles sont encore dans votre réseau d’entreprise, le VPN cité plus haut vous sauvra la mise. La configuration des VPN modernes ne nécessite aujourd’hui que peu de compétences, et cela revient rarement à autre chose que de suivre un lien dans un navigateur.

Les plus exigeants voudront de la simplicité. Facile avec le poste virtuel : votre bureau vous suit partout.

Mais vous pouvez aussi décider de publier vos applications à distance. Dans les faits, vous ouvrez votre navigateur sur un lien propre à votre application, vous vous authentifiez, et vous obtenez un raccourci vers votre application. Qui s’exécute alors comme si vous étiez au bureau. Cette technologie, appelée RemoteApp chez Microsoft, nécessite un peu de mise en place côté serveur. Mais elle a le bon goût de fonctionner dans toutes les situations : à distance à la maison, aussi bien qu’au bureau. Sans rien devoir installer d’autre que le petit lien téléchargé une seule fois à votre inscription. Génial non ?

La Rolls : le poste virtuel

Maintenant, les plus exigeants demanderont : il n’y a pas plus simple tout de même ? Bien sûr ! Imaginez qu’au lieu de transporter à la maison vos 4 outils du quotidien, vous puissiez emporter votre environnement de travail complet où que vous soyez. Vous avez le droit de rêver, car la recette est simple : une application à télécharger en quelques secondes, un terminal quelconque (PC, Mac, tablette, peu importe), votre nom d’utilisateur et votre mot de passe. Et… vous y êtes ! Votre bureau habituel s’affiche à l’écran, dans l’état où vous l’avez laissé la veille. Vous venez de vous connecter un à poste virtuel. Et vous avez le droit d’être exigeant.

Le spectre est donc large pour celles des PME qui veulent déployer le télétravail. Nous avons un faible pour le poste virtuel. Nos clients aussi. Et tous ceux qui le découvrent pour la première fois n’en reviennent généralement pas.  Vous voulez faire l’essai ? Rien de plus simple : nous en mettons à disposition, gratuitement, pour un test d’un mois. Il suffit de vous inscrire sur le formulaire ci-dessous. Mais si vous êtes plus classique, nous maîtrisons aussi les solutions préentées plus haute. Le choix vous appartient, et vous n’aurez maintenant plus d’excuse.

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Notre informatique est dans le Cloud, c’est un fait. Avec cette mutation, les outils de travail collaboratif se sont multipliés. Autrefois réservés aux grandes entreprises, ils gagnent maintenant les PME, qui manquent parfois de lignes directrices pour les implémenter avec discernement. Avec à la clé des risques qui ne sont pas négligeables. Mais comme chez Steel Blue on aime les PME, on vous dit comment passer à travers les gouttes.

Le travail collaboratif, vous en avez entendu parler. Partager des documents en interne, faire intervenir des partenaires extérieurs sur vos fichiers, organiser des sessions de vidéoconférence à plusieurs. Bref, ajouter de la fluidité dans vos processus de travail. Et au final, gagner en efficacité et en productivité. Cela fait rêver non ? Sauf que le rêve peut vite se transformer en cauchemar, si vous ne prenez pas les bonnes décisions dès le départ. Inventaire de quelques pièges classiques, mais dans lesquels vous pouvez éviter de tomber.

1 – Utiliser des outils de travail collaboratif grand public

La première expérience que chacun a fait avec le travail collaboratif, c’est en général avec son matériel personnel. Vous avez accepté la proposition de votre iPhone d’activer iCloud. Ou un ami vous a envoyé un fichier par Dropbox ou WeTransfer, que vous avez trouvé génial. Et que vous avez installé à votre tour en quelques clics. Loin de moi l’idée de remettre en cause la qualité de ces outils : ils sont pratiques, simples, rapides, ergonomiques… et gratuits. Ce dernier avantage est à double tranchant. Cela facilite l’essaimage de ces produits. Mais cela conduit aussi à ce qu’on appelle le « shadow IT » dans les entreprises : l’utilisation de logiciels personnels, hors du contrôle de l’entreprise.

Pas si grave, pensez-vous ? Voyons cela de plus près, et commençons par iCloud. Il s’agit d’un produit individuel, attaché à un compte personnel. Il échappe donc aux règles de conduite de l’entreprise. Pire, un collaborateur qui part emmène vos données avec lui. Et avant même qu’il ne parte, vos données sont déjà entre les mains de services gratuits, et donc assez laxistes concernant leur protection. Un exemple : les petites lignes des conditions générales de la version grand public de DropBox mentionnent que vous abandonnez la propriété de toutes les données que vous placez dans votre stockage en ligne. Vous avez bien lu.

En plus de vos données, controlez vos appareils. Votre tablette de démonstration s’éloigne de plus de 500 mètres de votre showroom ? Vous l’effacez automatiquement.

La solution ? Passer par les versions professionnelles de ces outils, ou choisir ceux qui sont dédiés aux entreprises. Dropbox Business permet d’intégrer vos comptes Office 365 et de garder le contrôle sur l’utilisation des partages, avec une vraie fonction d’administration. Office 365 propose différents plans tarifaires et outils – comme OneDrive – qui vous permettent d’équiper même les TPE avec les solutions des multinationales, pour un coût modique. Et Amazon Web Services propose une suite d’outils intégrée à la gestion des comptes utilisateurs dans le Cloud. Tout cela sans compter le fait que vous profitez de fonctions bien plus avancées, telles que le commentaire en ligne ou le verrouillage des documents. Vous avez donc le choix.

2 – Ne pas contrôler les appareils

Première étape franchie : vous outils et vos données sont sous contrôle. Parfait, mais quid des appareils ? Si vous favorisez le déploiement d’outils de travail collaboratif, vos collaborateurs vont finir par adorer ça. Et vouloir multiplier leur installation sur tout ce qui leur tombe sous la main. C’est bien pour l’efficacité, moins pour la sécurité. Imaginons qu’ils déploient votre logiciel de synchronisation de fichiers sur leur natel personnel, et qu’un de ces smartphones soit victime d’un virus ou d’un ransomware, vos fichiers et votre réseau sont exposés.

Pas de stress : tout comme vous contrôlez comment sont utilisés vos outils  de travail collaboratifs, vous pouvez gérer les appareils sur lesquels ils tournent. C’est le rôle des solutions de sécurité mobile en entreprise (EMS, Entreprise Mobiliy Security). Kesako ? Il s’agit de programmes qui lient les appareils à votre entreprise, et contrôlent les applications qui y sont installées, les règles de sécurité ou même la géolocalisation.

Pour réussir votre transformation, vous devez identifier des cas d’usage précis, et les adresser avec un scénario d’utilisation simple.

Un exemple ? Votre tablette de démonstration s’éloigne de plus de 500 mètres de votre showroom ? Effacez-la automatiquement. Vous voulez configurer le WiFi d’entreprise sur les natels sans avoir à communiquer et renouveler le mot de passe ? Déployez-le par les airs. Vous vous faites voler un ordinateur portable ? Vous le verrouillez à distance ou vous en effacez les données. Et évidemment, tout ceci fonctionne dans les deux sens : ce que vous installez à l’arrivée d’un collaborateur, vous le désinstallez automatiquement en cas de départ. Histoire d’être au propre.

3 – Oublier la formation et le support

Vous l’avez compris, les possibilités sont nombreuses. Ce qui rend ces outils parfois complexes. « Parfois » est même un terme un peu léger. La réussite de votre plan  de travail collaboratif viendra de l’adoption des utilisateurs. Et cette adoption n’aura pas lieu sans formation. Il s’agit d’un changement profond, et la résistance au changement peut faire capoter n’importe lequel des projets. Il faut donc l’accompagner.

Et inutile de penser connaître les outils sur le bout des doigts et dans leurs moindres recoins. C’est illusoire, et de toute façon inutile : l’effort sera démesuré, et vous devrez apprendre 90% de fonctions que vous n’utiliserez jamais. Le mot d’ordre ici sera le pragmatisme. Vous devez identifier des cas d’usage précis, et les adresser avec un scénario d’utilisation simple. Et de bout en bout.

Cette approche sera également itérative, et nécessitera des adaptations. Un nouveau scénario se présente ? Vous devrez définir comment l’adresser avec vos outils. Il est donc primordial de vous faire accompagner par un spécialiste qui connaît l’outil mieux que vous et vous fera gagner du temps pour ajouter une corde à votre arc. Idem si vous rencontrez des difficultés au quotidien. Là encore, la fluidité d’utilisation sera la clé du succès.

Que ce soit pour sélectionner vos outils ou identifier vos cas d’usage, nous sommes là pour vous aider à faire les bons choix. Prenez contact avec nous grâce au formulaire ci-dessous pour une première analyse. Et un déploiement en mode collaboratif, évidemment.

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Office 365 reste le leader des services collaboratifs en ligne dans le Cloud. Il mêle messagerie Exchange, chat Skype, vidéoconférence, le tout pour un abonnement mensuel fixe. Et il ajoute les fameux logiciels Office : Word, Excel, Powerpoint. Les PME, habituées à cette suite, basculent naturellement vers ces services. Mais ont-elles le choix ? Une alternative existe pourtant. Eclairage.

Depuis des décennies, Office domine le parc des ordinateurs de bureau dans le monde. Et de loin. Les quelques alternatives au produit phare de Microsoft – OpenOffice, LibreOffice – n’ont jamais réellement percé, malgré quelques références de renom. Les petites entreprises sont donc habituées à acheter les licences de ces produits Microsoft, et les remplacer au bout de quelques années – 6 en moyenne. En passant à Office 365, elles basculent donc aussi leur messagerie « naturellement » chez Microsoft, sans vraiment se demander si elles ont le choix. Alors qu’elles l’ont.

Passer de l’achat à la location

Lorsque Microsoft a lancé Office 365, il poursuivait plusieurs objectifs. Tout d’abord, passer d’un modèle d’achat à un modèle de location mensuelle, à l’usage. Avec toute la souplesse que cela induit : ajout et suppression de licence d’un mois sur l’autre, gestion simplifiée du parc de licences. Autre objectif : inclure dans ses abonnements non seulement les logiciels, mais aussi les services. En parallèle d’Outlook, vous bénéficiez du service de messagerie Exchange. Et à côté de Word et Excel, vous pouvez stocker vos fichiers dans le Cloud avec OneDrive.

Un autre but, moins connu, est lié à ce « packaging » : en incluant les services en ligne dans le Cloud, Microsoft pouvait gonfler ses chiffres dans un secteur où il était à la traîne. Et ceci d’autant plus rapidement que l’adoption d’Office 365 est presque une évidence dans le cadre du renouvellement des licences. Bien dopé par des campagnes Marketing à large échelle dont Microsoft a le secret.

De fait, une petite PME dont les licences Office arrivent en fin de vie va souscrire à Office 365. Et prendre les services en ligne dans la package. Plusieurs plans tarifaires sont à disposition. Ce que les clients ne savent pas forcément, c’est que ces multiples plans laissent la possibilité de souscrire soit aux logiciels seuls, soit aux services seuls, soit à la combinaison des deux – cette dernière option étant la plus généralement choisie.

Alternatives méconnues à Office 365

Si personne ne peut réellement concurrencer Microsoft sur le plan des outils bureautiques – Word et Excel ont encore de beaux jours devant eux, Microsoft n’est pas le seul leader dans le domaine des services en ligne. Il est même arrivé assez tard dans cette bataille. Et il y a donc des alternatives à la messagerie Exchange de Microsoft. Un exemple ? Amazon Web Services, l’autre géant du Cloud, fournit Workmail, un service de messagerie Exchange hébergée, compatible à 100% avec Outlook. Ou encore Chime, un concurrent, certes pas encore aussi abouti, à Skype for Business, l’outil de vidéoconférence de Microsoft.

Paradoxalement, certaines versions d’Office 365 ne peuvent pas être installées dans le Cloud

Mais quel serait l’avantage de prendre ses licences chez Microsoft et ses services ailleurs ? Cela vous permet tout d’abord de ne pas mettre tous vos oeufs dans le même panier, mais c’est maigre. Et les prix ? Honnêtement, les services en concurrence frontale se tiennent à peu de choses près. Les fonctions alors ? Microsoft mène la danse, avec pour principe d’enrichir en permanence ses produits. Au risque de s’avérer contre-productif, les utilisateurs croulant parfois sous l’avalanche des nouveautés.

Des détails qui font la différence

Non, le diable se cache parfois dans les détails. Vous savez, les petites lignes en bas des contrats. Et en la matière, Office365 n’est pas aussi simple qu’il y paraît. Tout d’abord, vous n’aurez jamais le choix de la localisation des données de votre messagerie. A quelques mois de l’activation du nouveau RGPD européen, cela peut faire réfléchir. Mais surtout, et paradoxalement, vous ne pouvez pas installer Office 365 comme vous le voulez. En particulier, certaines version du produit Cloud de Microsoft ne peuvent pas être installées… sur des infrastructures partagées dans le Cloud !

Imaginez que vous avez décidé de virtualiser vos postes de travail dans le Cloud, sur un tout nouveau serveur en location mensuelle. Ni une, ni deux, vous en profitez pour installer Office 365 Business sur vos bureaux virtuels… Erreur, car ce plan n’est pas éligible à l’installation dans cet environnement. Rien ne vous en empêche techniquement. Vous êtes juste en dehors des clous. C’est tout le paradoxe de Microsoft, qui doit ménager la chèvre et le chou de ses différentes lignes de produits, et des conditions d’utilisation qui vont avec. Au détriment des clients – les entreprises, et notamment les PME dont les plans qui leur sont dédiés sont en première ligne.

Que retenir de ces quelques lignes ? Tout d’abord, que des choix qui peuvent paraître évidents ne le sont pas forcément. Si les produits de Microsoft restent adaptés dans bien des cas, le marché existe et vous devez en considérer les différentes options. Ensuite, derrière l’apparente simplicité peuvent se cacher des enjeux plus profonds que ce que vous pouviez imaginer. Il est donc nécessaire de bien appréhender toutes les contraintes de vos installations avant de faire votre choix. Bonne nouvelle : nous pouvons vous y aider, il suffit de prendre contact avec nous avec le formulaire ci-dessous. Nous nous ferons un plaisir de vous accompagner vers le produit Cloud le plus adapté à votre situation.

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Comme de nombreuses PME, vous stockez vos fichiers sur un NAS Synology. Excellent choix ! Mais comme de trop nombreuses entreprises, vous en faites des backups sur un disque externe. Vos données sont dupliquées, mais pas vraiment protégées. Voici 3 étapes pour procéder à une sauvegarde de votre  NAS Synology à l’extérieur de vos murs.

Sauvegarder ses données ne revient pas à uniquement les recopier sur un autre support. Car deux appareils entassés l’un sur l’autre sont loin de fournir une protection infaillible. En cas d’incendie, de dégât des eaux, ou de vol, vous perdrez vos fichiers et leurs copies. Alors que le fait d’utiliser un NAS Synology vous permet de mettre en oeuvre un système de backup fiable et efficace, en quelques actions.

Les NAS Synology sont très répandus dans les petites entreprises. Il faut dire que ces boîtiers font des merveilles, et allient fiabilité et richesse fonctionnelle. En particulier, ils intègrent certains logiciels de sauvegarde, gratuits, qui vous permettent de pousser vos données en dehors de vos bureaux. Quel intérêt ? La séparation physique et géographique des données et de leurs sauvegardes vous assure la meilleure chance de récupérer vos données le plus rapidement possible, et donc de limiter vos pertes d’exploitation. Mais comment faire ? Voici une petite recette pas-à-pas.

1 – Mettre à jour votre NAS Synology

Commençons par le B-A-BA : la mise à niveau de votre appareil. Vous devez vous assurer que votre NAS Synology fait tourner la dernière version de son système d’exploitation. Profitez-en pour automatiser ces mises à jour, le boîtier le permet. Puis, ajoutez le paquet logiciel « Hyper Backup », vous le trouverez facilement dans le « Centre des Paquets ». En quelques instants, ce module est installé et prêt à l’emploi.

Dans la foulée, configurez un compte Cloud pour héberger vos données. Hyper Backup propose une ribambelle de fournisseurs de stockage Cloud compatibles avec le système S3. Ce système, inventé par Amazon, permet de stocker des fichiers dans le Cloud, de manière simple et sécurisée. Vous devrez généralement avoir une clé d’accès et une clé secrète pour configurer votre compte. Une fois ces étapes franchies, vous être prêts pour mettre vos données au chaud.

2 – Configurez la sauvegarde de votre NAS Synology

Depuis la console Hyper Backup, vous pouvez maintenant ajouter une tâche de sauvegarde. Une fois son petit nom attribué, vous définissez les paramètres de la sauvegarde Synology. C’est là que vos besoins, et votre imagination, seront sollicités. Fréquence, rétention, étendue, encryption : les possibilités sont sans limite. A vous de définir votre niveau de protection, en trouvant l’équilibre entre l’efficacité et les coûts : sauvegarder souvent et longtemps occupera plus de place dans le Cloud et plus de capacité sur votre connexion Internet.

Pour garantir vos backups, pas de miracle : procédez à des restaurations de temps en temps.

Vous êtes perdu ? Allez, on vous aide toute de même avec quelques recommandations. Sauvegardez vos données au moins une fois par jour, la nuit de préférence. Et surtout, pensez à conserver un historique de 7 jours au minimum. Pourquoi ? Le cryptage des ransomwares est un processus long, et vous pourriez vous apercevoir de leur méfait après quelques heures seulement, ou même quelques jours. Juste le temps de sauvegarder des fichiers déjà cryptés. Sans pouvoir remonter le temps au-delà de ce laps de temps, vos sauvegardes vous seront inutiles.

3 – Sauvegardez… et restaurez !

Il est temps de lancer le premier backup. Roulement de tambour… et patience. En effet, tous les fichiers seront dupliqués intégralement la première fois. Cela risque de mettre votre connexion Internet sous pression. Un exemple ? 1TB (soit environ 1’000GB) prennent 24 heures pour être sauvegardés sur une ligne à 100Mbps dans le sens du téléversement (depuis votre réseau vers Internet, upload en anglais). Mais rien de grave, il suffit de laisser la machine faire. Et les nouvelles connexions en fibre optique offrent ces débits à des coûts raisonnables en Suisse.

Les backups suivants seront évidemment plus légères. Votre processus de protection est donc maintenant enclenché. Mais pas tout à fait terminé. Vos backups ne sont rien sans capacité à les remettre en ligne. Il est primordial de savoir reprendre des données depuis le Cloud. Pas de miracle ici : entraînez-vous avec un fichier de test. Le NAS Synology vous aide, avec une interface intuitive et fluide. Une fois ces tests passés, vous pouvez dormir tranquille et passer à autre chose. Ah ! pas tout à fait : configurez donc une notification en cas d’échec, histoire de ne pas penser que tout fonctionne quand ça n’est pas le cas.

Si malgré ces quelques conseils, vous ne vous sentez toujours pas à l’aise (mais que vous ne voyez que des bonnes raisons de garder votre NAS Synology), pas de panique. Appelez-nous à la rescousse pour nous occuper de votre boîtier favori. Il suffit de nous contacter grâce au formulaire ci-dessous. Steel Blue fournit les espaces de stockage Cloud et les services de gestion de vos sauvegardes (mise en place, configuration, supervision). Clés en main et sans stress de perte de données.

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9 sociétés sur 10 qui perdent l’accès à leurs données pendant 10 jours font faillite. Ce chiffre impressionnant cache une double réalité. Au-delà de la sauvegarde des données, primordiale, votre capacité à les exploiter est aussi en jeu. En cas de crash informatique ou même d’incendie, quelle serait votre capacité à reprendre une activité dans des délais raisonnables, et éviter le pire ? Voyons comment vous pouvez vous préparer.

Un crash informatique peut mener à un crash d’entreprise tout court. Les pertes d’exploitation liées à une panne majeure peuvent être fatales à votre activité. Si vous avez mis vos données à l’abri via des backups, c’est bien. Mais pas suffisant. Ils vous protègent de la perte de vos fichiers, mais pas de la perte de matériel. Vous n’allez pas tout acheter en double tout de même ? Acheter, non. Louer, si. Explications.

Un client rencontré récemment m’expliquait qu’il avait doublé son serveur principal, en cas de perte de celui-ci. Cela lui offrait une sorte de bouée de secours pour palier une panne sérieuse. Excellente initiative, d’autant plus qu’elle lui a déjà sauvé la mise. Mais cela reste une solution difficile à maintenir : différences de spécifications et moindre puissance, obsolescence parallèle des deux machines, coût élevé. Le principe reste le bon, mais c’est son application qui doit être revue.

La voie du plan de reprise d’activité

Une autre alternative pourrait consister à se tenir prêt à monter une machine de remplacement, au moment où c’est nécessaire. Mais entre nous, les délais seraient intenables : entre la commande, la livraison, l’installation et la configuration, vous dépasseriez allègrement les 10 jours fatidiques. Sans compter les efforts nécessaires pour être sûr que l’installation se passe sans problème. Ca ne donne pas envie de tester, n’est-ce pas ?

Le jour J, il ne sera plus temps de se poser des questions existentielles. Le plan de reprise d’activité doit être testé régulièrement.

Dans ce qu’il est commun d’appeler un plan de reprise d’activité (PRA, ou DRP en anglais), d’autres solutions techniques sont désormais à disposition. La plus simple consiste à créer une image de votre serveur dans le Cloud, et la garder au chaud, au cas où. Cette copie fidèle pourra être mise en route à la demande sous la forme d’un serveur virtuel, prêt à reprendre la main. Bonne nouvelle, la machine virtualisée ne vous coûte rien, sauf une location journalière au moment où vous la démarrez pour basculer l’activité. Autre avantage : la machine que vous utiliserez sera conforme aux standards du moment, et non pas un serveur vieillissant.

Organisation et tests

Le PRA ne s’arrête évidemment pas là. En plus des ressources informatiques pour faire tourner vos programmes et stocker vos données, le plan comprend les moyens pour accéder à ces ressources à distance : connexion au Cloud, sécurisation, gestion des utilisateurs, reconfiguration des postes utilisateurs. Il définit aussi, et surtout, les procédures qui permettent de basculer d’un environnement à l’autre, afin d’assurer le succès de la manœuvre et accompagner les collaborateurs dans cette période de crise.

Evidemment, le plan de reprise d’activité n’a de sens que si vous êtes prêts à le dérouler les yeux fermés. Car le jour J, il ne sera plus temps de se poser des questions existentielles. Ce qui signifie que vous devrez le tester régulièrement. Avec un nombre limité d’utilisateurs mais dans des conditions aussi proches que possible de la réalité. Un plan de test béton sera votre allier pour ces phases de validation.

Le subtil équilibre entre le risque et les coûts

La définition du plan, et les moyens mis en œuvre pour son exécution, prendront en compte un certain nombre de paramètres que vous seul pourrez définir : délai souhaité pour la remise en ligne des ressources informatiques, point de restauration des données (autrement dit : tolérance à la perte), applications critiques prises en charge par le plan. Plus vous souhaiterez un plan rapide et complet, plus les coûts seront élevés. Mais une fois encore, ces coûts ne s’appliquent qu’à l’exécution, et vous bénéficiez du rapport qualité/prix imbattable du Cloud. A vous de trouver le bon équilibre entre le risque et le poids financier.

Les plans de reprise d’activité, autrefois réservés aux très grandes entreprises, sont maintenant à votre portée. Et c’est tant mieux, car vous êtes autant exposé au risque informatique que les grosses organisations. Votre assurance vous l’impose même peut-être. Il ne vous reste plus qu’à évaluer à quel point votre société serait prête à supporter un tel événement, et comment le PRA peut faire du sens. Besoin d’un coup de main pour mener ces réflexions et définir votre plan ? Nous sommes à votre disposition grâce au formulaire ci-dessous pour vous accompagner sur la voie de la sérénité informatique. Et vous éviter de faire partie des 93%.

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Il y a quelques semaines, une clé de stockage s’est perdue du côté de Londres. Par tout à fait n’importe laquelle : elle contenait des informations sensibles sur l’organisation de la sécurité à Heathrow. Si égarer ou se faire dérober du matériel informatique peut arriver, la vraie question demeure : comment de telles données peuvent terminer sur de simples clés USB ? Et en creux, la question qui vous taraude : peut-on éviter ce genre de fuite ? Allez, on vous dit comment.

Les supports de sauvegarde amovibles ont toujours été des médias de prédilection pour échanger des données. Les clés USB en tête, et avant elles les CD-Roms et les disquettes (pour les plus anciens). L’arrivée d’Internet a changé la donne, car il a rendu très aisé le transfert de données sans support. Pour autant, transférer de gros volumes peut encore s’avérer long. La clé USB reprend dans ce cas du poil de la bête. Avec les risques liés à cette pratique. Si insérer une clé USB semble imparable, est-ce que bloquer le transfert de données ne pourrait pas l’être tout autant ? La réponse tient en trois lettres : EMM, ou Enterprise Mobility Management.

Kesako ?

EMM est un terme générique qui recouvre les solutions de gestion et de sécurisation de la mobilité en entreprise. Bien que la mobilité soit le maître mot, elle concerne tous les appareils : postes fixes, ordinateurs portables, tablettes, natels. Le fonctionnement d’un EMM est simple : vous enregistrez vos appareils, et dès lors vous pouvez les gérer. Un simple QR code ou simple lien permettent l’enregistrement en quelques secondes. A ce moment précis, vous prenez le contrôle complet de l’appareil. Des profils, que vous aurez défini à l’avance, gèrent les restrictions et règles de sécurité qui s’appliquent à l’appareil. Comme par exemple : empêcher l’emploi d’un stockage externe. Hop, on vient de régler le problème d’Heathrow… Ok, c’est probablement un raccourci. Mais vous n’êtes pas le premier aéroport d’Europe non plus, non ?

Finis les clés de sécurité WiFi qui traînent sur les bureaux. Diffusez-les automatiquement aux employés, et seulement à eux.

Vous allez me dire : et si mon employé vient avec son matériel ? Primo : c’est une question pertinente, car c’est une pratique de plus en plus en vogue. Que nous promouvons d’ailleurs auprès de nos clients. Deuxio : vous ne devriez pas laisser vos collaborateurs se connecter à votre réseau sans contrôle. EMM pallie tout cela. Tout d’abord, le système peut gérer un appareil personnel. Il est même très efficace dans cette tâche puisqu’il segmente en deux le natel de votre employé : les applications et les données professionnelles ne sont pas partageables vers les applications personnelles. Et vous pouvez forcer des règles simples comme : un appareil non-enregistré ne peut pas se connecter au réseau de l’entreprise. Ni en Wifi, ni avec un câble, ni en VPN. Point réglé.

Quelques fonctions basiques…

En plus de gérer des paramètres de sécurité, simples ou avancés, EMM sait aussi gérer les appareils et leur fonctionnement. A commencer par les applications et les paramètres de base. C’est le deuxième « M » d’EMM. Une fois l’appareil enregistré, les paramètres réseau de base sont poussés automatiquement. Par exemple : le réseau WiFi de l’entreprise. Vous n’avez alors même plus à diffuser les clés de sécurité qui finissent inévitablement sur des Post-It au bord des écrans. Idem pour le VPN, dont tous les réglages arrivent par les airs. Il ne reste plus à l’utilisateur qu’à rentrer son mot de passe personnel. Evidemment, EMM vérifie aussi la compatibilité d’un appareil avec vos règles de sécurité, comme la présence d’un antivirus, d’un mot de passe et de données encryptées. Et empêche l’accès au réseau en cas de manquement à ces règles.

Un appareil mobile s’éloigne un peu trop de vos locaux ? Il se bloque ou s’efface automatiquement…

Côté applications, elles sont diffusées de la même façon dès l’enregistrement de l’appareil. Automatiquement, et sans intervention. Les utilisateurs de l’entreprise sont regroupés en profils (vente, technique), et les lots d’applications varient en fonction de ces profils. Si une nouvelle application est ajoutée par la suite, l’ajout dans le profil déclenche son installation sur tous les appareils. Et pour vos collaborateurs qui s’inquiètent de la pollution de leur iPhone préféré, la désinscription d’EMM génère un nettoyage systématique de l’appareil, mais uniquement pour la partie qui était sous votre contrôle. Si l’appareil vous appartient, vous restreignez à l’inverse la possibilité de supprimer le profil.

… Mais pas seulement

Mais plus qu’un simple gestionnaire de profil, EMM peut vous emmener plus loin. Beaucoup plus loin. Supposons que certains de vos appareils soient dédiés à un usage au bureau. Pour un lab, ou pour une salle de réunion. Et qu’ils contiennent des données sensibles, sur le développement de certains de vos produits ou services. Vous n’aimeriez pas qu’ils quittent vos mûrs. Mais que faire si un malfaiteur vous « l’emprunte », ou si un collaborateur indélicat décide d’arrondir ses indemnités de départ ? En trois clics, vous délimitez un périmètre géographique sur une carte, en dehors duquel vous déclenchez une action. Un effacement express par exemple ou un blocage automatique.

Je passe sur l’application de règles sur certaines plages horaires seulement, ou la supervision à distance des appareils, en temps réel. Focalisons-nous sur une autre fonction : le mode Single App. Vous êtes sur un salon, et vous avez mis à disposition une tablette pour faire la démonstration de votre toute nouvelle application à succès. Mais évidemment, il se trouve toujours un petit malin pour détourner votre appareil. Oui… mais non, pas avec EMM. Vous bloquez l’appareil en Single App Mode le temps du salon, et vous êtes sûr qu’il ne sera pas utilisé pour autre chose que vos démos. Une fois le salon fini, vous débloquez le mode et retrouvez toutes les fonctionnalités de votre iPad. Et là encore, si on vous l’emprunte, l’effacement démarre dès la porte du salon franchie. Bluffant, non ?

Evidemment, toutes ces fonctions méritent mieux que quelques lignes : une vraie démonstration en live qui vous fera comprendre le potentiel d’une solution EMM. Envoyez-nous un petit mot sur notre formulaire de contact ci-dessous, et nous viendrons vous la faire à domicile. Et répondre à la question qui reste encore dans un coin de votre esprit : « ok, mais combien ça coûte ? ». Dans les faits, quelques dizaines de francs par an et par appareil. Support compris chez Steel Blue, vous nous connaissez. La sécurité a un prix, mais il n’est finalement pas déraisonnable. Quand bien même vous seriez à la tête d’un gros aéroport.

Steel Blue : all inclusive, all right !


Vous prenez votre voiture pour aller au travail sur le Grand Genève ? Une vraie partie de plaisir… Pour ne pas se déplacer systématiquement, opter pour le télétravail reste une option. A ce titre, le projet Interreg favorise l’émergence de lieux de coworking dans la région genevoise, et lutte ainsi activement contre les déplacements inutiles et coûteux. Rencontre avec un des acteurs du projet, Luc Jaquet, chef de projet à Sofies.

Le programme Interreg France-Suisse vise à améliorer la coopération territoriale. En particulier, le projet déployé sur le Grand Genève cherche à développer des services innovants à base de nouvelles technologies afin de faciliter, entre autres, le télétravail. Parmi ces technologies, le Cloud, naturellement mobile, prend évidemment une part importante. Luc Jaquet, qui gère le projet pour la région genevoise, nous détaille les axes de développement de cette initiative,. Et en quoi les solutions Cloud de Steel Blue sont d’un intérêt majeur dans ce cadre.

Quels sont les axes sur lesquels vous intervenez dans le cadre du projet Interreg France-Suisse ?

Luc Jaquet : « Dans les grandes lignes ils sont de trois ordres. En premier lieu, nous agissons dans les zones transfrontalières pour le développement de structures qui favorisent le télétravail au plus proche des lieux de résidence pour éviter au maximum les déplacements. Dans le détail, nous intervenons pour l’aide à la création d’espaces de coworking ou le développement d’espaces existants, y compris au moyen de partenariats public-privé et de modèles d’affaires innovants pour améliorer la viabilité dans des zones a priori moins rentables car éloignées des centres urbains.

A l’autre bout de la chaîne, nous accompagnons les entreprises pour mettre en place le travail à distance. Le spectre de notre intervention est large et touche les aspects stratégiques, managériaux et juridiques, l’optimisation immobilière, mais aussi les outils techniques pour soutenir cette mise en place. Il y a encore de la méfiance de la part des PME vis-à-vis du télétravail. Il faut les rassurer en la matière. Et lorsque le pas est franchi, s’assurer qu’elles ne rencontrent pas de difficultés avec les nouveaux outils déployés.

Finalement, une application innovante est développée pour faire le lien entre l’offre de coworking et les utilisateurs : GOWO, le réseau social du coworking. Elle sert de porte d’entrée unique pour trouver le bon lieu où l’on veut travailler, tout en favorisant les échanges entre professionnels et en récompensant les comportements vertueux en termes de mobilité et d’engagement dans le réseau. Le lancement officiel de l’application est prévu pour février 2018. »

Quelles problématiques techniques se posent pour les espaces de coworking et pour les entreprises en matière de télétravail ?

Luc Jaquet : « Les espaces de coworking ont besoin de savoir comment gérer les allers et venues d’utilisateurs hétéroclites et ponctuels. Cela pose de nombreux défis techniques : quelle capacité souscrire pour la connexion Internet ? Comment proposer des services mutualisés tels que les impressions ? Comment garantir la sécurité du réseau et des utilisateurs entre eux ? La responsabilité légale de l’exploitant de la zone de télétravail est engagée car il est le seul responsable de ce qui se passe sur son réseau.

Pour les entreprises, tout commence généralement par un audit. Il n’y a pas de solution générique, il est nécessaire de faire du cas par cas. Ce qui est le propre des petites et moyennes entreprises. Quels sont les outils déjà en place ? Les applications qui devront être accessibles à distance ? La population d’utilisateurs qui sera concernée ? Comment garantir la sécurité ? Comment former les utilisateurs ? Les problématiques sont nombreuses. En plus de changement de modèle, de nouveaux outils sont mis en œuvre, et l’accompagnement est une condition sine qua non de réussite. »

En quoi les services Cloud constituent un avantage pour la mise en œuvre de votre stratégie ?

Luc Jaquet : « Le Cloud est intrinsèquement associé à une utilisation à distance des services. Cela fait partie du modèle. Opter pour des services Cloud permet donc de ne pas différencier leur utilisation depuis la maison, un espace de télétravail ou les bureaux. L’explosion des technologies dans le nuage favorise ainsi la mise en place des moyens techniques qui supportent les solutions promues dans le cadre du projet Interreg.

Assez naturellement, nous nous sommes tournés vers Steel Blue, qui porte le Cloud dans son ADN. Notre prise de contact avec Emmanuel Dardaine nous a permis rapidement de cerner les besoins que nous pourrions adresser, que ce soit pour aider au développement d’espaces de coworking, ou pour accompagner les entreprises dans leur démarche. Le niveau d’expertise de Steel Blue ainsi que leur focalisation sur les petites entreprises en font un partenaire de choix pour nous accompagner dans notre mission. »

Vous avez envie vous aussi de passer au télétravail ? Avec le projet Interreg d’un côté et Steel Blue en fournisseur de solutions de coworking, vous êtes entre de bonnes mains, avec l’assurance de mettre toutes les chances de votre côté. Prenez contact avec nous grâce au formulaire ci-dessous pour un rendez-vous à trois, et bénéficiez de l’expérience croisée de deux experts du domaine.

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En matière de télétravail, il y a les patrons réticents, ou encore ceux qui hésitent. Et enfin, ceux qui aimeraient bien mais ne savent pas comment procéder. Laissons les premiers à leur maturation, cela viendra tôt ou tard. Ou pas. Mais pour les intrépides qui souhaitent se lancer, plusieurs approches sont possibles. Dans le Cloud évidemment. Aidons-les à y voir plus clair.

Commençons par une définition simple, voire simpliste, du télétravail : cela consiste tout simplement à exécuter ses tâches dans des locaux autres que ceux de l’entreprise. On pense évidemment au travail depuis la maison, mais pas seulement. Les espaces de coworking se multiplient, qui permettent aux salariés de disposer de bureaux dans des lieux plus proches de leur domicile. Dans tous les cas, les contraintes pour réaliser l’ensemble des ses tâches sont les mêmes. Il faut que le métier s’y prête, et que les outils soient disponibles.

Le télétravail, pour qui et comment ?

Tout d’abord, une pointe de réalisme : le télétravail ne s’applique – essentiellement – qu’au tertiaire. Difficile de demander à un tourneur d’emmener sa machine à la maison… Les emplois de service, dont les supports de travail sont de plus en plus dématérialisés, sont les candidats idéaux au travail à distance. D’ailleurs, il est de plus en plus rare de voir des employés venir avec un cartable ou un sac pour transporter des liasses de papier. Le laptop a pris la place du porte-documents.

Pour ces catégories d’employés, télétravailler nécessite de retrouver dans les locaux distants les mêmes ressources qu’au bureau. Ce qu’on appellera leur environnement de travail. Dans les grandes lignes, ils ont besoin d’un poste de travail , c’est-à-dire le bureau d’un ordinateur et ses icônes, qu’il soit physique ou virtuel. Ensuite, ils requièrent l’accès aux fichiers de l’entreprise, et aux applications du quotidien. A commencer par la sempiternelle et incoutournable suite Office (j’admets, il existe des alternatives, les puristes ne m’en voudront pas). Mais aussi les applications dites « métier », et les applications support : comptabilité, ressources humaines. Pour que le panorama soit complet, ajoutons les outils de communication (email, téléphonie, audio-conférence et visio-conférence).

Vos données, partout

Pour fournir tout cela au télétravailleur motivé, il est possible de procéder de deux façons radicalement opposées. En résumé, soit les données suivent l’utilisateur sur tous ses appareils, soit c’est un environnement de travail unique qui devient accessible depuis n’importe où

Concrètement, le 1er cas consiste à répliquer les données de travail sur les différents appareils qui seront exploités par l’employé. Le poste personnel à la maison, le laptop pour aller travailler en espace de coworking, et le poste fixe du bureau. Sur tous ces appareils, les applications locales doivent être installées, mises à jour et maintenues. En premier chef : Office. Heureusement, cela ne pose pas de souci de licence, puisqu’Office365 permet 5 installation concurrentes sur des postes fixes, et 5 autres sur des tablettes, pour le même prix. Un outil de synchronisation des données professionnel – OneDrive ou Workdocs pour ne pas les citer – se chargera de maintenir les données à jour entre les appareils. Et une solution de collaboration comme Sharepoint facilitera le partage de documents en ligne et le travail collaboratif.

Plutôt que de laisser les données venir à vous, laisser vos employés aller aux données. Partout.

Mais si cette solution peut paraître avantageuse, elle pose toutefois un souci de sécurité : le périmètre des données de travail n’est pas étanche, et vos données sont répliquées sur des postes que vous ne maîtrisez pas… heureusement, il existe des systèmes de garde-fou, qui restreignent les possibilités de copie, mais limitent en même temps les fontionnalités.

Votre réseau, fermé

Reste alors la possibilité de prendre un chemin complètement opposé : plutôt que de laisser les données venir à eux, laissez vos employés aller aux données. Partout. Pour cela, vous mettez en place des environnements de travail dématérialisés, sous la forme d’un poste virtuel ou d’un bureau virtuel. Résultat, les données restent circonscrites au réseau de l’entreprise, et la seule chose qui voyage entre ce réseau et l’utilisateur, c’est l’affichage du bureau. Les applications sont installées une seule fois, la maintenance se limite à l’environnement virtuel de l’utilisateur. Qui peut même exploiter son propre matériel, puisque la porosité entre le réseau d’entreprise et son PC est nulle. De quoi éviter les fuites de données, telle que celle découverte récemment à Heathrow. Avec la contrainte non-négligeable toutefois de toujours avoir une connexion Internet à disposition.

Résultat des courses ? Vous avez le choix des armes pour mettre en place sereinement le télétravail dans votre PME. Dans les deux cas, ça se passera dans le Cloud, vous nous connaissez. Mieux que ça : vous pouvez tout à fait mixer les deux approches. Laisser les collaborateurs accéder à un environnement virtuel, mais profiter aussi d’une synchronisation partielle des données pour les rares cas où la connexion Internet ne sera pas disponible. C’est exactement le type de solution que nous préconisons chez Steel Blue. Mieux : nous l’utilisons au quotidien. Et si vous souhaitez voir à quoi ça ressemble, pas de souci, entrez votre adresse email ci-dessous laissez-vous aller à un clic. Nous nous ferons un plaisir de vous présenter ces technologies qui facilitent le travail. Et pour les plus courageux, nous pourrons même mettre un environnement de travail virtuel à disposition, gratuitement. De quoi faciliter votre premier pas vers le télétravail.

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On ne va pas se mentir : l’informatique est vécue comme un mal nécessaire par les PME. Coûteuse, pas toujours fiable, il faut souvent « faire avec ». Ce qui n’incite pas les entreprises à la faire évoluer. Dommage, car le Cloud résout bon nombre de ces écueils. Quelques indices devraient vous mettre la puce à l’oreille : vous êtes probablement prêt à faire le pas. Florilège.

Vous savez ce que c’est mais vous ne savez pas quoi en faire

Difficile d’y échapper si vous lisez la presse dédiée aux entreprises, ou même les journaux grand public : le terme Cloud revient en boucle. Mais tout comme sa représentation, cela reste assez flou pour vous. Vous avez compris qu’il s’agit de services informatiques hébergés sur Internet, mais sans plus. Et pourtant, une petite voix vous dit qu’il doit y avoir un intérêt pour votre business dans ces technologies. Et qu’il serait bon de ne pas rater le train. Ok, mais pour où commencer ?

Comme bien des concepts informatiques, le Cloud est large. Très large. Dès lors, difficile de savoir ce qui vous concerne, et comment l’appliquer au cas de votre entreprise. Logiciels en ligne, infrastructure virtualisée, bases de données hébergées, Cloud hybride : il y a de quoi s’y perdre, je vous comprends. Mais finalement, ça n’a rien d’étonnant. Le panel des solutions Cloud a explosé ces dernières années si bien que les possibilités sont presque infinies. La solution ? Faites appel à un expert, qui pourra analyser votre métier et identifier vos besoins et vos contraintes. Mais surtout, comprendre comment vous voyez évoluer votre société. A partir de là, il sera assez simple de définir quels services Cloud sont le plus adaptés pour vous. Et surtout, quels avantages en tirer. Je vais y revenir.

Vous ne savez pas combien vous aurez payé pour votre informatique à la fin de l’année

Vous êtes abonné aux carnets d’heures et aux factures de service informatique à géométrie variable ? Chacune des interventions réalisées pour vous est décomptée, et si les choses se passent mal c’est la double peine : non-seulement vous avez subi des désagréments, mais il faut remettre la main à la poche quand le carnet est épuisé. Et alors vos coûts s’envolent. Si bien qu’à la fin de l’année, difficile de faire coïncider budget et dépenses effectives…

Passer dans le Cloud, c’est la garantie de ne plus garder de mauvais souvenir informatique.

Utiliser le Cloud pour votre informatique d’entreprise, c’est avant tout la possibilité de souscrire des ressources à la demande. Et aussi d’en supprimer, si jamais. Si cette souscription s’accompagne de services tout inclus (maintenance, mises à jour, support), alors c’est le bingo. Votre tarif est connu à l’avance, et vous savez combien vous aurez dépensé sur l’année. Simple règle de trois. Facile non ? Prenons un exemple : vous avez prévu de lancer un site eCommerce dans l’année pour une période limitée. Pas d’investissement matériel en vue, votre serveur Cloud vous coûtera un montant fixe pour les 3 mois de votre campagne, et à la fin de l’opération vous arrêtez les frais. Vos dépenses sont prévisibles, votre budget respecté, votre trésorerie protégée.

Votre dernier achat de matériel vous est resté en travers de la gorge

Ce qui vous fait le plus hésiter à passer par la case investissement, c’est justement votre dernière facture informatique. Un serveur digne de ce nom, les licences, les frais d’installation et d’intégration dans vos locaux : on parle rapidement de sommes à 5 chiffres par machine. Et c’est encore pire si cet achat a été effectué sous la contrainte, dans l’urgence d’une panne, et que vous n’avez pas vraiment eu le choix.

Passer dans le Cloud, c’est la garantie de ne plus garder de mauvais souvenir informatique. Vous n’achetez plus, vous louez. Vous limitez donc vos investissements aux coûts liés à la configuration initiale de vos ressources Cloud ou la migration de vos données. Mieux : si une mise à jour du « matériel » ou du serveur Cloud est nécessaire, par exemple pour gagner en puissance, vous changez tout simplement de niveau de service, sans devoir racheter quoi que ce soit, ou rester avec une ancienne machine sur les bras. Tentant non ?

Votre matériel est à bout de souffle mais vous n’avez aucune envie de le remplacer

La situation est bien connue : votre serveur de fichiers ou de messagerie donne des signes de faiblesse, mais ça n’est pas moment de le remplacer. Vous avez d’autres priorités pour votre trésorerie : le budget marketing ou l’embauche d’un nouveau collaborateur. Alors vous faites tenir cette satanée bécane comme vous pouvez : investissements minimum, réparations au dernier moment, quelques patches et quelques rustines feront l’affaire. Et vous croisez les doigts pour que cela tienne encore quelques mois.

Sans oser l’avouer, vous sentez que votre informatique n’est plus à la hauteur. Le Cloud peut changer la donne.

Mais si vous ne pouvez – ou ne voulez – pas le remplacer, n’y a-t-il pas une alternative à l’échange un pour un ? Evidemment ! Vous pouvez vous contenter de remplacer votre matériel poussif par un serveur tout neuf dans le Cloud. Sans devoir investir, puisque vous allez le louer. Vous transformez vos dépenses d’investissement en frais opérationnels, et vos frais sont lissés sur l’année. Mieux : comme les technologies Cloud évoluent en permanence, vous pouvez bénéficier de mises à jour du matériel sans payer un centime de plus. Qui l’eut cru ?

Vous aimeriez moderniser votre outil de travail, mais pas investir

En lisant la presse ou en discutant avec confrères et clients, vous les entendez parler de nouveaux outils. Sans oser l’avouer, vous sentez que votre informatique n’est plus à la hauteur. Surtout, vous vous dites que vous pourriez changer vos méthodes de travail et gagner en efficacité : généraliser le télétravail, améliorer la mobilité de vos équipes, faciliter l’accès aux fichiers, sécuriser vos données. Ok, mais à quel prix ?

Si vous avez suivi jusqu’ici, vous aurez compris que les services Cloud vous permettent d’adapter en permanence vos dépenses à vos besoins, et que vous pouvez les lisser dans le temps via des forfaits. Surtout, ces abonnements vous donnent accès à des services qui étaient réservées auparavant aux grandes sociétés. Prenons un exemple :  la visio-conférence d’entreprise est maintenant accessible pour quelques francs par mois et par utilisateur. Elle vous laisse inviter des dizaines de personnes, même externes à votre compagnie, pour présenter un rapport ou une offre, ou même réaliser un Webinar. Tout cela sans devoir faire un gros chèque.

Vous vous reconnaissez dans certaines de ces situations ? Je ne serais pas étonné, c’est ce que nous constatons au quotidien chez les entreprises que nous rencontrons. Les solutions sont là. Libre à vous de les activer à votre rythme. Venez prolonger la discussion avec nous grâce au formulaire ci-dessous. Vous aurez maintenant le choix d’exploiter le Cloud pour résoudre ces contraintes du quotidien.

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