Comme de nombreuses PME, vous stockez vos fichiers sur un NAS Synology. Excellent choix ! Mais comme de trop nombreuses entreprises, vous en faites des backups sur un disque externe. Vos données sont dupliquées, mais pas vraiment protégées. Voici 3 étapes pour procéder à une sauvegarde de votre  NAS Synology à l’extérieur de vos murs.

Sauvegarder ses données ne revient pas à uniquement les recopier sur un autre support. Car deux appareils entassés l’un sur l’autre sont loin de fournir une protection infaillible. En cas d’incendie, de dégât des eaux, ou de vol, vous perdrez vos fichiers et leurs copies. Alors que le fait d’utiliser un NAS Synology vous permet de mettre en oeuvre un système de backup fiable et efficace, en quelques actions.

Les NAS Synology sont très répandus dans les petites entreprises. Il faut dire que ces boîtiers font des merveilles, et allient fiabilité et richesse fonctionnelle. En particulier, ils intègrent certains logiciels de sauvegarde, gratuits, qui vous permettent de pousser vos données en dehors de vos bureaux. Quel intérêt ? La séparation physique et géographique des données et de leurs sauvegardes vous assure la meilleure chance de récupérer vos données le plus rapidement possible, et donc de limiter vos pertes d’exploitation. Mais comment faire ? Voici une petite recette pas-à-pas.

1 – Mettre à jour votre NAS Synology

Commençons par le B-A-BA : la mise à niveau de votre appareil. Vous devez vous assurer que votre NAS Synology fait tourner la dernière version de son système d’exploitation. Profitez-en pour automatiser ces mises à jour, le boîtier le permet. Puis, ajoutez le paquet logiciel « Hyper Backup », vous le trouverez facilement dans le « Centre des Paquets ». En quelques instants, ce module est installé et prêt à l’emploi.

Dans la foulée, configurez un compte Cloud pour héberger vos données. Hyper Backup propose une ribambelle de fournisseurs de stockage Cloud compatibles avec le système S3. Ce système, inventé par Amazon, permet de stocker des fichiers dans le Cloud, de manière simple et sécurisée. Vous devrez généralement avoir une clé d’accès et une clé secrète pour configurer votre compte. Une fois ces étapes franchies, vous être prêts pour mettre vos données au chaud.

2 – Configurez la sauvegarde de votre NAS Synology

Depuis la console Hyper Backup, vous pouvez maintenant ajouter une tâche de sauvegarde. Une fois son petit nom attribué, vous définissez les paramètres de la sauvegarde Synology. C’est là que vos besoins, et votre imagination, seront sollicités. Fréquence, rétention, étendue, encryption : les possibilités sont sans limite. A vous de définir votre niveau de protection, en trouvant l’équilibre entre l’efficacité et les coûts : sauvegarder souvent et longtemps occupera plus de place dans le Cloud et plus de capacité sur votre connexion Internet.

Pour garantir vos backups, pas de miracle : procédez à des restaurations de temps en temps.

Vous êtes perdu ? Allez, on vous aide toute de même avec quelques recommandations. Sauvegardez vos données au moins une fois par jour, la nuit de préférence. Et surtout, pensez à conserver un historique de 7 jours au minimum. Pourquoi ? Le cryptage des ransomwares est un processus long, et vous pourriez vous apercevoir de leur méfait après quelques heures seulement, ou même quelques jours. Juste le temps de sauvegarder des fichiers déjà cryptés. Sans pouvoir remonter le temps au-delà de ce laps de temps, vos sauvegardes vous seront inutiles.

3 – Sauvegardez… et restaurez !

Il est temps de lancer le premier backup. Roulement de tambour… et patience. En effet, tous les fichiers seront dupliqués intégralement la première fois. Cela risque de mettre votre connexion Internet sous pression. Un exemple ? 1TB (soit environ 1’000GB) prennent 24 heures pour être sauvegardés sur une ligne à 100Mbps dans le sens du téléversement (depuis votre réseau vers Internet, upload en anglais). Mais rien de grave, il suffit de laisser la machine faire. Et les nouvelles connexions en fibre optique offrent ces débits à des coûts raisonnables en Suisse.

Les backups suivants seront évidemment plus légères. Votre processus de protection est donc maintenant enclenché. Mais pas tout à fait terminé. Vos backups ne sont rien sans capacité à les remettre en ligne. Il est primordial de savoir reprendre des données depuis le Cloud. Pas de miracle ici : entraînez-vous avec un fichier de test. Le NAS Synology vous aide, avec une interface intuitive et fluide. Une fois ces tests passés, vous pouvez dormir tranquille et passer à autre chose. Ah ! pas tout à fait : configurez donc une notification en cas d’échec, histoire de ne pas penser que tout fonctionne quand ça n’est pas le cas.

Si malgré ces quelques conseils, vous ne vous sentez toujours pas à l’aise (mais que vous ne voyez que des bonnes raisons de garder votre NAS Synology), pas de panique. Appelez-nous à la rescousse pour nous occuper de votre boîtier favori. Il suffit de nous contacter grâce au formulaire ci-dessous. Steel Blue fournit les espaces de stockage Cloud et les services de gestion de vos sauvegardes (mise en place, configuration, supervision). Clés en main et sans stress de perte de données.

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9 sociétés sur 10 qui perdent l’accès à leurs données pendant 10 jours font faillite. Ce chiffre impressionnant cache une double réalité. Au-delà de la sauvegarde des données, primordiale, votre capacité à les exploiter est aussi en jeu. En cas de crash informatique ou même d’incendie, quelle serait votre capacité à reprendre une activité dans des délais raisonnables, et éviter le pire ? Voyons comment vous pouvez vous préparer.

Un crash informatique peut mener à un crash d’entreprise tout court. Les pertes d’exploitation liées à une panne majeure peuvent être fatales à votre activité. Si vous avez mis vos données à l’abri via des backups, c’est bien. Mais pas suffisant. Ils vous protègent de la perte de vos fichiers, mais pas de la perte de matériel. Vous n’allez pas tout acheter en double tout de même ? Acheter, non. Louer, si. Explications.

Un client rencontré récemment m’expliquait qu’il avait doublé son serveur principal, en cas de perte de celui-ci. Cela lui offrait une sorte de bouée de secours pour palier une panne sérieuse. Excellente initiative, d’autant plus qu’elle lui a déjà sauvé la mise. Mais cela reste une solution difficile à maintenir : différences de spécifications et moindre puissance, obsolescence parallèle des deux machines, coût élevé. Le principe reste le bon, mais c’est son application qui doit être revue.

La voie du plan de reprise d’activité

Une autre alternative pourrait consister à se tenir prêt à monter une machine de remplacement, au moment où c’est nécessaire. Mais entre nous, les délais seraient intenables : entre la commande, la livraison, l’installation et la configuration, vous dépasseriez allègrement les 10 jours fatidiques. Sans compter les efforts nécessaires pour être sûr que l’installation se passe sans problème. Ca ne donne pas envie de tester, n’est-ce pas ?

Le jour J, il ne sera plus temps de se poser des questions existentielles. Le plan de reprise d’activité doit être testé régulièrement.

Dans ce qu’il est commun d’appeler un plan de reprise d’activité (PRA, ou DRP en anglais), d’autres solutions techniques sont désormais à disposition. La plus simple consiste à créer une image de votre serveur dans le Cloud, et la garder au chaud, au cas où. Cette copie fidèle pourra être mise en route à la demande sous la forme d’un serveur virtuel, prêt à reprendre la main. Bonne nouvelle, la machine virtualisée ne vous coûte rien, sauf une location journalière au moment où vous la démarrez pour basculer l’activité. Autre avantage : la machine que vous utiliserez sera conforme aux standards du moment, et non pas un serveur vieillissant.

Organisation et tests

Le PRA ne s’arrête évidemment pas là. En plus des ressources informatiques pour faire tourner vos programmes et stocker vos données, le plan comprend les moyens pour accéder à ces ressources à distance : connexion au Cloud, sécurisation, gestion des utilisateurs, reconfiguration des postes utilisateurs. Il définit aussi, et surtout, les procédures qui permettent de basculer d’un environnement à l’autre, afin d’assurer le succès de la manœuvre et accompagner les collaborateurs dans cette période de crise.

Evidemment, le plan de reprise d’activité n’a de sens que si vous êtes prêts à le dérouler les yeux fermés. Car le jour J, il ne sera plus temps de se poser des questions existentielles. Ce qui signifie que vous devrez le tester régulièrement. Avec un nombre limité d’utilisateurs mais dans des conditions aussi proches que possible de la réalité. Un plan de test béton sera votre allier pour ces phases de validation.

Le subtil équilibre entre le risque et les coûts

La définition du plan, et les moyens mis en œuvre pour son exécution, prendront en compte un certain nombre de paramètres que vous seul pourrez définir : délai souhaité pour la remise en ligne des ressources informatiques, point de restauration des données (autrement dit : tolérance à la perte), applications critiques prises en charge par le plan. Plus vous souhaiterez un plan rapide et complet, plus les coûts seront élevés. Mais une fois encore, ces coûts ne s’appliquent qu’à l’exécution, et vous bénéficiez du rapport qualité/prix imbattable du Cloud. A vous de trouver le bon équilibre entre le risque et le poids financier.

Les plans de reprise d’activité, autrefois réservés aux très grandes entreprises, sont maintenant à votre portée. Et c’est tant mieux, car vous êtes autant exposé au risque informatique que les grosses organisations. Votre assurance vous l’impose même peut-être. Il ne vous reste plus qu’à évaluer à quel point votre société serait prête à supporter un tel événement, et comment le PRA peut faire du sens. Besoin d’un coup de main pour mener ces réflexions et définir votre plan ? Nous sommes à votre disposition grâce au formulaire ci-dessous pour vous accompagner sur la voie de la sérénité informatique. Et vous éviter de faire partie des 93%.

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En matière de télétravail, il y a les patrons réticents, ou encore ceux qui hésitent. Et enfin, ceux qui aimeraient bien mais ne savent pas comment procéder. Laissons les premiers à leur maturation, cela viendra tôt ou tard. Ou pas. Mais pour les intrépides qui souhaitent se lancer, plusieurs approches sont possibles. Dans le Cloud évidemment. Aidons-les à y voir plus clair.

Commençons par une définition simple, voire simpliste, du télétravail : cela consiste tout simplement à exécuter ses tâches dans des locaux autres que ceux de l’entreprise. On pense évidemment au travail depuis la maison, mais pas seulement. Les espaces de coworking se multiplient, qui permettent aux salariés de disposer de bureaux dans des lieux plus proches de leur domicile. Dans tous les cas, les contraintes pour réaliser l’ensemble des ses tâches sont les mêmes. Il faut que le métier s’y prête, et que les outils soient disponibles.

Le télétravail, pour qui et comment ?

Tout d’abord, une pointe de réalisme : le télétravail ne s’applique – essentiellement – qu’au tertiaire. Difficile de demander à un tourneur d’emmener sa machine à la maison… Les emplois de service, dont les supports de travail sont de plus en plus dématérialisés, sont les candidats idéaux au travail à distance. D’ailleurs, il est de plus en plus rare de voir des employés venir avec un cartable ou un sac pour transporter des liasses de papier. Le laptop a pris la place du porte-documents.

Pour ces catégories d’employés, télétravailler nécessite de retrouver dans les locaux distants les mêmes ressources qu’au bureau. Ce qu’on appellera leur environnement de travail. Dans les grandes lignes, ils ont besoin d’un poste de travail , c’est-à-dire le bureau d’un ordinateur et ses icônes, qu’il soit physique ou virtuel. Ensuite, ils requièrent l’accès aux fichiers de l’entreprise, et aux applications du quotidien. A commencer par la sempiternelle et incoutournable suite Office (j’admets, il existe des alternatives, les puristes ne m’en voudront pas). Mais aussi les applications dites « métier », et les applications support : comptabilité, ressources humaines. Pour que le panorama soit complet, ajoutons les outils de communication (email, téléphonie, audio-conférence et visio-conférence).

Vos données, partout

Pour fournir tout cela au télétravailleur motivé, il est possible de procéder de deux façons radicalement opposées. En résumé, soit les données suivent l’utilisateur sur tous ses appareils, soit c’est un environnement de travail unique qui devient accessible depuis n’importe où

Concrètement, le 1er cas consiste à répliquer les données de travail sur les différents appareils qui seront exploités par l’employé. Le poste personnel à la maison, le laptop pour aller travailler en espace de coworking, et le poste fixe du bureau. Sur tous ces appareils, les applications locales doivent être installées, mises à jour et maintenues. En premier chef : Office. Heureusement, cela ne pose pas de souci de licence, puisqu’Office365 permet 5 installation concurrentes sur des postes fixes, et 5 autres sur des tablettes, pour le même prix. Un outil de synchronisation des données professionnel – OneDrive ou Workdocs pour ne pas les citer – se chargera de maintenir les données à jour entre les appareils. Et une solution de collaboration comme Sharepoint facilitera le partage de documents en ligne et le travail collaboratif.

Plutôt que de laisser les données venir à vous, laisser vos employés aller aux données. Partout.

Mais si cette solution peut paraître avantageuse, elle pose toutefois un souci de sécurité : le périmètre des données de travail n’est pas étanche, et vos données sont répliquées sur des postes que vous ne maîtrisez pas… heureusement, il existe des systèmes de garde-fou, qui restreignent les possibilités de copie, mais limitent en même temps les fontionnalités.

Votre réseau, fermé

Reste alors la possibilité de prendre un chemin complètement opposé : plutôt que de laisser les données venir à eux, laissez vos employés aller aux données. Partout. Pour cela, vous mettez en place des environnements de travail dématérialisés, sous la forme d’un poste virtuel ou d’un bureau virtuel. Résultat, les données restent circonscrites au réseau de l’entreprise, et la seule chose qui voyage entre ce réseau et l’utilisateur, c’est l’affichage du bureau. Les applications sont installées une seule fois, la maintenance se limite à l’environnement virtuel de l’utilisateur. Qui peut même exploiter son propre matériel, puisque la porosité entre le réseau d’entreprise et son PC est nulle. De quoi éviter les fuites de données, telle que celle découverte récemment à Heathrow. Avec la contrainte non-négligeable toutefois de toujours avoir une connexion Internet à disposition.

Résultat des courses ? Vous avez le choix des armes pour mettre en place sereinement le télétravail dans votre PME. Dans les deux cas, ça se passera dans le Cloud, vous nous connaissez. Mieux que ça : vous pouvez tout à fait mixer les deux approches. Laisser les collaborateurs accéder à un environnement virtuel, mais profiter aussi d’une synchronisation partielle des données pour les rares cas où la connexion Internet ne sera pas disponible. C’est exactement le type de solution que nous préconisons chez Steel Blue. Mieux : nous l’utilisons au quotidien. Et si vous souhaitez voir à quoi ça ressemble, pas de souci, entrez votre adresse email ci-dessous laissez-vous aller à un clic. Nous nous ferons un plaisir de vous présenter ces technologies qui facilitent le travail. Et pour les plus courageux, nous pourrons même mettre un environnement de travail virtuel à disposition, gratuitement. De quoi faciliter votre premier pas vers le télétravail.

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DroneLogbook est une plateforme qui stocke et gère les données de vol des drones. DroneAnalytics, la startup qui la développe, s’est naturellement tournée vers le Cloud dès sa création pour exploiter son application. Son IT interne n’avait pas encore eu droit au même traitement. Steel Blue l’a aidée à rectifier le tir.

L’application DroneLogbook permet aux entreprises qui exploitent des flottes de drones à des fins commerciales de transférer les données de vol à leur retour à la base. Ces données sont stockées dans le Cloud, pour être consolidées, sauvegardées, et analysées grâce à une console Web. Elles permettent notamment de surveiller la performance du matériel, ou de planifier vols et maintenances. Chaque client dispose en général de sa propre application, mais une version mutualisée est aussi opérée.

Nous nous sommes naturellement tournés vers le Cloud pour développer et exploiter notre application. Cela nous permettait de limiter les investissements matériels et de bénéficier de la souplesse nécessaire à tout lancement de startup, explique Yves Jusot, Directeur de DroneAnalytics.

Toutefois, l’informatique interne, qui n’était pas une question lors de la création de la société, est devenue un enjeu au fur et à mesure que la société grandissait.

Nous rencontrons un franc succès sur le continent américain, et nous avons maintenant un collaborateur sur place. En parallèle, notre comptable travaille à temps partiel à distance. Et c’est sans compter sur la multiplication de nos noms de domaines. La situation était gérable lorsque avons démarré, mais elle ne l’est plus maintenant, et nous devions consolider tout cela.

Un partenaire IT

DroneAnalytics ne disposait pas des compétences ni des ressources pour mettre en place une informatique d’entreprise. Son fournisseur Cloud, Amazon Web Services, l’a orientée vers Steel Blue pour externaliser cette tâche. Le mandat a débuté par une phase d’analyse des différents fournisseurs et services en place, et la définition d’un plan de marche… Sans traîner, puisque DroneAnalytics souhaitait réaliser cette transition dès la fin de l’été. Nicolas Berthenet, Directeur Technique de DroneAnalytics, nous en dit un peu plus.

Nos noms de domaine étaient hébergés chez Gandi, ainsi que quelques boîtes email. Certains utilisateurs étaient encore sur Gmail, et nous n’avions pas de solution de collaboration, ni de gestion des comptes utilisateurs. Avec la croissance de la société, nous nous devions de fédérer l’IT interne pour le rendre gérable. Steel Blue a rapidement analysé la situation, et proposé un plan pour rapatrier et migrer l’ensemble des services. Tout est allé très vite, grâce à l’excellente capacité de Steel Blue à maitriser les outils Cloud et l’Internet.

La migration vers le Cloud

La migration s’est déroulée sur moins de 2 semaines : déplacement des noms de domaine, création des répertoires d’entreprise pour la gestion des utilisateurs et de la sécurité, mise en place de la messagerie et déplacement des boîtes. Yves Jusot nous explique comment s’est passée cette migration.

Nous n’avons tout simplement rien vu ! Les domaines ont été migrés sans la moindre minute d’interruption. Et lorsque Steel Blue nous a indiqué que les boîtes étaient créées, il ne nous restait plus qu’à entrer notre adresse et notre mot de passe pour retrouver l’ensemble de nos emails. Ca n’aurait pas pu être plus confortable. En prime, Steel Blue nous a fourni une documentation regroupant les informations techniques. Nous envisageons maintenant de procéder à une seconde phase de projet, puisque notre comptable va devoir travailler à distance, et le poste de travail virtuel Cloud sera la meilleure solution pour lui fournir le plus de confort possible sans remettre en cause la sécurité de nos données.

Qui a dit que la migration vers le Cloud devait être longue et douloureuse ? La majorité des PME admettent après coup que ce genre d’opération était finalement plus rapide et plus simple que ce qu’elles avaient anticipé. Le choix du bon spécialiste peut faire toute la différence. Bonne nouvelle : nous en sommes un ! Si vous aussi, vous souhaitez mettre votre informatique en ordre et dans le Cloud, prenez contact avec nous avec le formulaire ci-dessous pour une analyse sans faille et une migration éclair. Et décollez dans le Cloud comme DroneAnalytics.

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Selon Crédit Suisse, 20% des PME suisses prévoient de céder la propriété de leur entreprise dans les 5 ans. Dans ces moments cruciaux, les tâches ne manquent pas : audit, évaluation, négociation, transition. L’informatique reste en général le parent pauvre de ces acquisitions. Elle est pourtant le support incontournable de la bonne marche des affaires. Faire les bons choix, dès le début, peut vous sauver la mise. Voici 3 conseils pour un rachat en toute sérénité.

Racheter une entreprise, c’est répondre en premier lieu à un enjeu simple : assurer la continuité des affaires. Avant d’entamer la nécessaire phase des transformations. L’informatique reste une pierre majeure de l’édifice. Et pourtant elle est souvent négligée. Vécue comme un mal nécessaire et une source de coûts, elle est rarement perçue comme un outil de productivité.

Et pourtant, les données font partie intégrante, avec le savoir-faire et les actifs, de la valeur de l’entreprise. Sous-estimer l’état de l’informatique, et donc la pérennité de ces données, c’est s’exposer à un risque important. Risque auquel il sera difficile de faire face en cas de souci. Autant anticiper les choses le plus possible. Sans pour autant mettre à mal la trésorerie, particulièrement sollicitée en ces temps de reprise.

Stabiliser l’existant

Premier point à traiter d’urgence : assurer la protection et la duplication des données. Cela commence par leur localisation : si elles sont centralisées sur un serveur, c’est mieux. Si elles se trouvent sur des postes isolés, il faudra en faire le tour, un par un. La question suivante consistera à définir si une copie existe, pour chacune des sources de données, et si cette copie est automatique. Et enfin, si ces copies sont effectuées dans vos murs ou ailleurs.

Idéalement, vous devrez profiter de cet inventaire pour centraliser vos fichiers, dans la mesure du possible, sur votre serveur de fichiers. Cela facilitera leur gestion, et la mise en place des copies. Celles-ci auront lieu obligatoirement dans le Cloud, pour vous prémunir des risques basiques : incendie, vol, dégât des eaux. Bonne nouvelle, les coûts restent minimes, que ce soit ceux des outils de sauvegarde ou des espaces de stockage Cloud. Quelques dizaines de francs par mois pour 1TB, soit 1’000GB. La sécurité n’a pas de prix, mais en l’occurrence il est modique.

Evaluer les risques informatique

Vous voilà donc à l’abri. Une fois les données sous contrôle, vous pouvez envisager d’estimer parmi vos ordinateurs ce qui est encore en état et ce qui ne l’est plus. Et pour les machines qui sont en fin de vie, vous devrez vous poser la question de leur remplacement. Avant même de parler d’évolution et de modernisation, la question à vous poser n’est pas tant « quand », mais « si ». En d’autres termes : devez-vous uniquement lutter contre la vétusté, ou envisager un changement plus drastique ?

Opter pour le Cloud lors de votre rachat, c’est changer d’époque et devenir un consommateur de services informatiques à la demande

Prenons un exemple : votre serveur de messagerie est à bout de souffle. Il contient des années d’archives email, soit une bonne partie de la connaissance de l’entreprise. Et comme il montre des signes de faiblesse, vous vous dites qu’il faut le remettre à jour. Ce qui risque de vous coûter un bras. Votre trésorerie y est-elle prête ? Il n’y a plus de raison aujourd’hui de s’équiper d’un serveur dédié dans une PME. Les solutions en ligne telles que Workmail ou Office365 vous offrent mieux pour le prix d’un abonnement mensuel abordable. Et évidemment, vous aurez une fiabilité sans faille, tout en bénéficiant plus tard de nouvelles fonctionnalités et de possibilités de modernisation.

Evoluer vers le cloud

Maintenant que vous savez ce que vous devez changer, reste maintenant à définir un plan d’évolution. Et pour chaque pièce de votre infrastructure, vous devrez vous demander si vous dématérialisez ou pas. Ne nous mentons pas : il y a peu de raison de reprendre un cycle d’investissement dans du matériel. Pour des raisons économiques, et aussi pour des raisons de pérennité dans le temps. Votre situation est finalement une réelle opportunité : celle de changer de modèle. Et d’utiliser le risque de votre informatique vieillissante comme une réelle opportunité de modernisation.

Utiliser des services Cloud vous garantira d’éviter les investissements massifs. En adaptant la consommation de ressources informatiques à votre activité, à la hausse ou à la baisse. Avec à la clé un contrôle permanent des coûts et des risques. Le paiement à l’usage de ces services via des forfaits mensuels tout inclus, sans engagement, vous garantit d’éviter les surcoûts de fin d’année ou de fin de mois.

Que vous soyez en plein rachat, en phase de consolidation ou en étude de reprise, le timing est le bon. Chez Steel Blue, nous accompagnons nos clients dans ce changement. Et nous les faisons changer d’époque : ils passent de l’achat et l’exploitation de leur matériel informatique, à une ère de consommation de services informatiques à la demande. Vous êtes aussi dans cette situation ? Demandez-nous de venir vous voir pour évaluer la pertinence de nos solutions dans votre cas en vous inscrivant ci-dessous. Vous ne risquez rien, à part de profiter du Cloud comme d’un levier majeur dans la réussite de votre rachat d’entreprise.

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La digitalisation fait exploser le volume de vos données. Et met sous pression vos moyens de stockage d’entreprise. Entre saturation et risque de panne, votre exposition au risque est maximale. A cela s’ajoutent les dangers externes qui pèsent sur vos fichiers : vol, incendie, perte, dégât des eaux. Alors même que votre dépendance aux données augmente jour après jour. Vous voilà pris entre deux feux. Alors, comment faire face ? Suivez le guide.

Chaque année, 5% des entreprises font face à une perte de données. Pour un coût moyen de 8’000.- francs environ. Avec des disparités importantes, vous l’imaginez bien. En d’autres termes, il est fort probable qu’une des entreprises situées dans votre immeuble ait perdu une partie de ses données l’an dernier. A moins que ça ne soit vous… Pourtant, il n’y a pas de fatalité. Et vous pouvez mettre toutes les chances de votre côté pour empêcher que cela arrive, ou en limiter les conséquences. Avec une gamme de solutions graduée.

Réduire les risques de perte de données

Une bonne protection commence par une bonne sauvegarde. Cela peut paraître une évidence. Et pourtant, le constat sur le terrain au quotidien tend à prouver le contraire : sauvegarde sur disque externe ou bande, dans les mêmes locaux. Dans la majorité des cas, vos backups disparaîtront en même temps que vos données si un feu ou une inondation devait se déclarer. Le meilleur principe pour éviter de tout perdre consiste à éloigner vos copies des données originelles. Le plus loin possible.

5%, c’est la proportion d’entreprises qui perdent des données tous les ans. Pour un coût moyen de 8’000.- francs.

En bref, vous devez pousser au moins un backup vers le Cloud. Et cela n’a rien de complexe : la plupart des équipements de stockage récents incluent désormais des connecteurs qui permettent une mise en œuvre rapide, simple et économique. Au pire, un logiciel spécialisé fera l’affaire. Tout ceci pour des taux de résilience impressionnants : certains fournisseurs garantissent dans leurs contrats de service un risque maximal de perte de fichier par an d’un pour 100 milliards…

Diminuer les temps d’indisponibilité

Maintenant que vos données sont à l’abri, vous devez vous demander ce qu’il adviendra le jour où vous devrez les récupérer. Vos fichiers sont protégés, mais votre matériel est peut-être hors d’usage ou a tout simplement disparu. Pour limiter l’indisponibilité de vos données, vous devrez disposer d’un appareil de remplacement pour les remettre en ligne – les restaurer – le plus rapidement possible. Cela peut s’apparenter à un vrai parcours du combattant, surtout si vous ne disposez pas de contrat de maintenance pour votre matériel ou si celui n’existe plus.

La solution ? Poussez le curseur Cloud un peu plus loin. Non seulement, vous externalisez vos sauvegardes, mais vous hébergez dans le Cloud le serveur qui stocke et sert vos données. Par nature, il est virtualisé. En obtenir un « neuf » ne prend que quelques minutes. Réellement. Vous pouvez alors retrouver vos données en ligne dans des délais défiant toute concurrence.

Augmenter la granularité

Luxe ultime : vous sauvegardez un historique de vos différents fichiers, selon une stratégie que vous définissez à l’avance. Car parmi les risques encourus par vos documents, l’erreur humaine n’est pas la moindre. Vouloir récupérer le fichier d’il y a deux jours peut s’avérer utile, après un effacement par erreur. Bonne nouvelle : sauvegarder dans le Cloud est économique. Garder plusieurs versions ne vous coûtera pas plus cher. D’autant plus que les systèmes de sauvegarde sont suffisamment intelligents pour ne copier que les morceaux de données qui ont été modifiés, et limiter ainsi l’effet boule de neige.

Et vous, comment vous sentez-vous à l’aise avec vos sauvegardes ? Peut-être aimeriez-vous savoir où vous vous trouvez ? Aucun souci : demandez-nous de passer vous voir en entrant votre adresse email ci-dessous. Nous ferons avec vous un état des lieux de la situation. Peut-être aurez-vous une bonne surprise… ou pas ! Mais au moins, vous aurez une idée du risque que vous courrez. Quant aux solutions, maintenant vous les connaissez.

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Une PME suisse sur cinq sera à vendre dans les 5 années à venir. La croissance externe est un événement critique dans la vie d’une PME. Lors d’une telle acquisition, la fusion des systèmes d’information reste un morceau de choix. Adopter les bons réflexes peut vous éviter l’indigestion. Voici des pistes de réflexion pour ne pas avoir l’appétit coupé.

Faisons un rêve. Votre petite entreprise ne connaît pas la crise. Elle se développe même à vitesse grand V. Vous vous sentez pousser des ailes et vous envisagez de racheter un concurrent. Dans ce genre d’opération, l’intégration du système informatique relève souvent du casse-tête. Interconnexion de réseau, ajout de sites, données délocalisées, gestion éparpillée. Autant de bonnes raisons de transformer le rêve en cauchemar. Et de couper l’élan de votre développement. Mais avec une stratégie Cloud bien élaborée, et les outils adéquats, vous pouvez passer entre les gouttes et transformer votre achat en une extraordinaire opportunité de modernisation et d’efficacité.

Loin des yeux…

Deux entreprises, cela signifie deux sites, et deux locaux. A moins d’avoir vécu longtemps au-dessus de vos moyens, vos bureaux sont adaptés à votre personnel existant, et pas à l’ajout des nouveaux arrivants. Vous pourriez envisager de déménager tout le monde, mais le problème serait double. Bref, il va vous falloir vivre avec plusieurs sites pendant quelques temps. Ce qui implique de les interconnecter. Jouable, mais peu pratique : les données seront éloignées de votre nouveau site. Avec tout ce que cela implique en termes de (mauvaises) performances.

Une solution simple consiste non pas à interconnecter vos bureaux entre eux, mais à les connecter au Cloud. Et y placer vos données. Ainsi, tout le monde est logé à la même enseigne. Et profite du même confort de travail, avec des données qui transitent dans le bon sens de votre connexion Internet : celui descendant. En prime, vous sécurisez vos données en profitant d’une redondance naturelle et de niveaux de disponibilités sans équivalent.

Plus de 20% des PME suisses prévoient de céder la propriété de leur entreprise dans les 5 ans
Source : Crédit Suisse

Faire rimer nouveauté et efficacité

Jetons un œil aux postes de travail maintenant. Les ordinateurs de votre acquisition sont gérés dans une unité d’administration différente de la vôtre. Cela veut dire des ressources différentes, et des façons de faire qui le sont tout autant, et même des matériels de marques différentes. Le plus simple serait de tout remettre à plat, et de changer les PCs de vos nouveaux collaborateurs. Vous vous exposez tout de même à une fronde des « anciens ». Et surtout, le budget serait hors de proportion. Renouveler le parc semble donc illusoire. A moins que…

Plutôt que de remplacer le matériel, équipez vos nouveaux collaborateurs avec des postes virtuels Cloud, intégrés à votre réseau existant. Vous les laisser y accéder avec leurs anciens PCs, qui deviennent de simples terminaux et n’ont plus besoin de maintenance. Vous louez vos postes virtuels mensuellement, histoire de lisser vos coûts. Dernier avantage : vous offrez à vos collaborateurs de la mobilité. Ils retrouvent leur poste virtuel lorsqu’ils viennent travailler dans vos bureaux, et vous pouvez même en profiter pour favoriser le télétravail. Et lorsque la fusion des sites sera à nouveau d’actualité, le déplacement ne sera qu’une formalité puisque vos postes virtuels n’auront pas à bouger.

Cap sur le collaboratif

En attendant le moment de ce rapprochement géographique, il ne vous reste plus qu’à mettre la touche finale à l’IT né de cette fusion. Vos deux sites vont engendrer des déplacements nombreux. Et leur lot de séances. Cela sera la bonne occasion de basculer sur des environnements de travail collaboratifs dans le Cloud. Visio-conférence, conférences audio, partage d’écran, travail à plusieurs sur des documents, numérisation des documents. Votre rachat est le levier idéal pour entrer dans l’ère de la digitalisation. En interne, mais aussi avec vos clients et prospects. Et bonne nouvelle : les outils sont là, et ils ne vous demanderont aucun investissement. Juste une souscription mensuelle, que vous pourrez adapter de mois en mois.

Bien, il est temps de se réveiller maintenant, ça n’était qu’un songe. Enfin, pas tout à fait. Si nous vous souhaitons que vos affaires progressent à ce point, les technologies décrites ici sont bien réelles. D’ailleurs, vous pouvez en profitez dès maintenant, sans même devoir attendre de faire un rachat. Vous aimeriez probablement les voir en action ? Demandez-nous une démonstration. Elles pourraient bien vous rassurer et lever un frein au rachat qui vous trotte dans la tête.

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Réseau Santé Mentale SA (RSM) est une société en charge de l’exploitation d’établissements psychiatriques dans le canton de Berne. Issue de la privatisation des Services Psychiatriques du Jura Bernois – Bienne-Seeland (SPJBB), elle devait dans le cadre de ce changement quitter le réseau cantonal. Tout en assurant la continuité d’accès à ses services Cloud privés. Steel Blue était là pour accompagner cette transition.

Les SPJBB, jusqu’alors connectés aux ressources informatiques cantonales (réseau, applicatifs), avaient jusqu’au 31 décembre 2016 pour basculer leur réseau de données sur une solution privée. Au 1er janvier 2017, l’entité devait en effet être transformée en société anonyme. L’enjeu était de pouvoir procéder à cette migration sans interruption des services, pour le bien et la sécurité des patients. C’est sur les conseils de son nouveau fournisseur, VTX, que son responsable informatique, Michel Donzé, a fait appel à Steel Blue et son service de consulting. Il explique son choix.

Nous avions commandé notre nouveau réseau chez VTX. Mais nous avions aussi besoin d’une expertise neutre et d’une vision à 360° sur les activités liées à la mise en place de ce réseau. En particulier, nous devions assurer l’accès à nos services Cloud privés sans impact avant, pendant et après la mise en service du réseau. L’approche verticale de Steel Blue, et sa connaissance profonde du réseau, des systèmes et du Cloud ont permis d’atteindre ce but.

L’environnement complexe du projet nécessitait une organisation sans faille. Le réseau cantonal étant sous-traité à Spie, et certains applicatifs exploités par Bedag. Il a donc fallu briser la barrière de la langue, et proposer un plan de migration strict mais compatible avec les exigences d’exploitation et de sécurité du canton. Par ailleurs, la coordination et le suivi se devaient d’être parfaits, étant donné la demi-douzaine d’interlocuteurs impliqués.

Steel Blue a dès le départ pris le lead sur le projet, et définissant un plan très clair qui a été proposé au canton, ajoute M. Donzé. Après quelques adaptations, un compromis a été trouvé et le plan a ensuite rapidement été accepté par l’organisme en charge du réseau cantonal. Ce plan permettait une transition en douceur tout en garantissant une sécurité maximale. C’était un défi de taille, compte-tenu aussi des différences d’organisation entre les parties prenantes.

Une fois le plan défini, la migration a été planifiée et exécutée. La date butoir de la fin de l’année 2016 ne pouvait pas être remise en cause. L’échec n’était donc pas une option. La migration avait donc été définie pour se donner le plus de flexibilité possible, afin d’assurer la transition dans les délais impartis. Steel Blue était alors sur le pont pour assurer le suivi, la communication et la coordination entre les différents acteurs. Grâce à une excellente préparation entre Steel Blue et VTX, le passage sur le nouveau réseau s’est même terminé avec un peu d’avance. Et sans que les utilisateurs n’aient rien remarqué.

Steel Blue avait proposé de faire vivre les deux réseaux, l’ancien et le nouveau, en parallèle, et de basculer le trafic progressivement. Avec le recul, c’était la meilleure approche à suivre. Nous avons pu ainsi définir des tâches très granulaires, qui nous évitaient une approche big-bang, et nous permettaient de garder le contrôle complet sur la progression des travaux. Nous avons terminé la transition en avance, et aucun n’utilisateur ne s’est réellement aperçu du changement. Avec la marge que nous avions sur le calendrier, nous pouvions envisager la fin d’année avec sérénité, conclut M. Donzé.

Grâce à la combinaison de son expertise technique et de la maîtrise de la gestion de projet, Steel Blue a permis au Réseau Santé Mentale SA d’atteindre ses objectifs dans les délais impartis. Vous avez vous aussi des défis à relever en 2017 ? vous aimeriez bénéficier d’accompagnement pour réaliser des projets complexes ? Steel Blue peut vous aider à définir des solutions Cloud et les mettre en œuvre en respectant vos contraintes et vos délais. Contactez-nous sans tarder pour les planifier dès maintenant et cibler dans le mille en bénéficiant de nos conseils.

Steel Blue : all inclusive, all right !

L’informatique des PME suisses ressemble souvent à une sorte de mille-feuille. Au gré des besoins, les couches se sont accumulées. Au point de devenir parfois ingérables. Il est temps de faire le ménage, mais par où commencer ? Le succès de l’opération tient en deux mots : dématérialisation et externalisation. Et aussi dans une valise. Explications.

A chaque nouvelle rencontre avec un entrepreneur suisse, le rituel final est le même : la visite des installations informatiques. Histoire de voir ce qui est généralement caché. Et de se rendre compte. Un bouquet final en sorte, un peu comme lorsqu’on soulève le capot d’une voiture. Le constat est immuable : beaucoup de matériel, souvent vieillissant, et la somme de risques incalculable qui va avec. C’est en général le meilleur point de départ pour parler Cloud et externalisation. Les technologies sont là, et elles sont adaptées aux petites entreprises comme aux grandes. Avec un volume de matériel qui tient dans une mallette de quelques litres. Sérieusement.

Profitez d’une connexion moderne

Pour construire une infrastructure Cloud solide, vous avez d’abord et surtout besoin d’une connexion Internet sérieuse. La fibre optique est un must, mais une connexion VDSL fera tout aussi bien l’affaire. Les derniers produits proposés sur le marché suisse offrent des débits jusqu’à 100Mbps. Ajoutez une ligne de secours en 4G. Cela devient de toute façon également un standard. Au bout de votre connexion, vous aurez besoin d’un routeur pour vous protéger des intrusions, d’un switch pour interconnecter vos postes de travail, et peut-être d’un accès WiFi performant pour vos natels et tablettes. Et ensuite ? C’est tout. 3 appareils pour avoir une connexion sécurisée et fiable. Pas plus. Tout le reste sera dématérialisé ou réduit à l’état de consommable. A commencer par les postes de travail.

Le Cloud est en quelque sorte le meilleur moyen de faire plus avec moins

Votre bureau vous suit

Car à l’autre bout de votre connexion, vous voudrez connecter vos PCs. C’est là que la magie commence à opérer. Déployez plutôt des terminaux, et connectez-vous sur des postes virtuels hébergés dans le Cloud. Ces terminaux sont économiques à l’achat, et écologiques à l’usage, avec 10W de consommation environ. De quoi économiser 25.- par poste par mois. Ils sont aussi résistants à l’épreuve du temps : 7 années de durée de vie moyenne. Et comme vos PCs sont désormais virtualisés, rien ne vous empêche d’y accéder depuis n’importe où. En déplacement, à l’hôtel, dans le train, ou même au fond de votre canapé depuis votre tablette. Gage de mobilité, le poste virtuel est aussi un gage de modernité puisqu’il vous permet de faire un pas vers le télétravail.

Virtualisez le reste

Et mes applications, direz-vous ? Externalisez-les. Votre réseau moderne vous permet de vous connecter en toute sécurité au Cloud où vous hébergerez vos applicatifs sur des systèmes dédiés et isolés d’Internet. Votre ERP ? Sur un serveur virtuel, redondant, solide et inépuisable. Votre messagerie ? Dehors chez un fournisseur de service spécialisé ! Vos données et vos sauvegardes ? Au chaud dans le Cloud. Là encore, la centralisation et l’externalisation vous garantissent en plus un accès mobile à votre informatique, et changent votre façon de travailler. En quelque sorte, le meilleur moyen de faire plus avec moins. Et pour ne rien gâcher, vous ferez des économies sur votre facture informatique : l’exploitation de ces ressources entraîne une économie constatée de 25%.

Si vous avez suivi jusque-là, vous avez compris : 3 appareils réseau, et des terminaux légers gros comme des livres. Voilà le maximum requis pour faire tourner votre informatique. Devinez quoi ? Cette valise existe. Elle fonctionne même au bout d’une clé 4G. Et si vous nous prêtez un écran le temps de quelques minutes, nous serons ravis de venir vous faire la démonstration d’un système informatique d’entreprise complet qui tient sur le bord d’une table . N’hésitez plus et réservez dès maintenant un rendez-vous pour une démonstration qui vous ne laissera pas de marbre.

Steel Blue : all inclusive, all right !

Serafin Architectes Associés est un bureau d’architecture réputé de la place genevoise. Composé d’une dizaine de collaborateurs, il est actif autant en Suisse qu’à l’étranger. Il a opéré une migration complète de son informatique dans le Cloud en moins d’une année avec Steel Blue. Récit.

Comme la plupart des entreprises du secteur, le métier de Serafin Architectes a été révolutionné par la numérisation. Il est loin le temps de la planche à dessin. Tous les tracés sont désormais effectués sur des stations de travail graphiques, et échangés avec d’autres prestataires via des plateformes électroniques. Etabli depuis près de 30 ans, le bureau avait récemment accumulé les infrastructures informatiques. Son directeur, Serge Serafin, se souciait de l’évolution de son système d’information, et souhaitait le moderniser en l’externalisant dans le Cloud:

Lorsque nous avons commencé à travailler avec Steel Blue, l’offre de valeur nous a paru en parfaite adéquation avec nos besoins. Nous souhaitions externaliser notre informatique, et profiter des opportunités du Cloud pour nos affaires. Nous avons confié un mandat de conseil à Steel Blue afin de définir un plan sur plusieurs années. Et nous avons commencé à exécuter ce plan dès l’automne 2015. Tout a commencé avec la mise en place d’une connexion Internet en fibre optique, et d’un nouveau réseau WiFi entièrement géré à distance et sécurisé.

Le bureau a ensuite accéléré le pas. Comme souvent pour les métiers techniques, certaines données telles que les plans ne pouvaient pas être exploitées directement dans le Cloud, pour des questions de volume. Elles sont donc restées sur place sur un serveur dédié (NAS), mais leurs sauvegardes ont été externalisées. Steel Blue a ensuite mis en place un nouveau domaine, et basculé tous les postes, les données et la messagerie sur ce nouveau réseau. Les utilisateurs administratifs ont eux été équipés de postes virtuels, à la satisfaction du client:

Les migrations ont été menées directement par Steel Blue, indique Eliane Serafin, co-directrice. Nous avons retrouvé les emails comme les fichiers sur le nouveau réseau, sans que notre activité n’ait été réellement impactée. La disponibilité de Steel Blue pendant cette phase a été cruciale pour la bonne réussite de l’opération. Et les postes virtuels nous ont permis de gérer la phase de transition de manière douce en nous laissant l’accès à nos anciens environnements pendant quelques temps.

Une fois le réseau migré, Serafin Architectes a pu bénéficier des avantages des solutions Cloud pour son métier. Notamment en terme de mobilité et d’échanges de données. Les postes virtuels et les fichiers sont désormais accessibles aux utilisateurs à la maison ou en déplacement. Idéal pour les réunions de chantier. Steel Blue a aussi déployé une solution d’échange de données entièrement intégrée au système de fichiers interne, ce qui facilite le travail avec les différents corps de métiers. Et la mise en service prochaine d’un système de gestion documentaire permettra d’accélérer le traitement des affaires.

Les solutions Cloud dont nous bénéficions chez Steel Blue nous permettent de travailler en souplesse, rapporte Jean-Luc Periat, dessinateur et contact technique chez Serafin Architectes. Nous pouvons nous connecter depuis l’extérieur et accéder à nos fichiers de manière transparente. C’est parfait pour terminer certains projets à temps. Par ailleurs, pouvoir collecter des données, notamment des photos, depuis le terrain et les rendre disponibles dans la seconde aux autres collaborateurs accélère les flux de traitement dans l’entreprise.

Sur place, Serafin Architectes ne dispose plus au final que du stockage de ses fichiers, des postes de dessin et des appareils réseau. Tout le reste est désormais opéré dans le Cloud. Avec un niveau de fiabilité et de sécurité optimal. La preuve ? Une récente interruption de la fibre optique est passée complètement inaperçue, puisque tous les services informatiques dans le Cloud ont continué de tourner sur la ligne de secours 4G du client de manière transparente.

Vous aimeriez en savoir plus sur le déploiement d’un telle solution ? Prenez-contact avec nous et nous vous en présenterons les avantages en détails. Pour que vous aussi vous puissiez tirer rapidement quelques plans sur la comète Cloud.

Steel Blue : all inclusive, all right !